
Le Quai d’Orsay et l’Élysée ont beau assurer que l’absence d’Emmanuel Macron n’est nullement une conséquence de l’affaire des sous-marins, si cela était vrai, ce serait un sacré télescopage d’agendas et d’événements qui aurait créé ces circonstances.
Ici à New York, ils sont nombreux à se demander où est le président français, chantre du multilatéralisme, en pleine crise géopolitique à régler. Sans compter que les Premiers ministres britannique et australien, Boris Johnson et Scott Morrison, sont très présents depuis le 20 septembre dans l’espace médiatique de l’ONU.
D’autres critiques estiment enfin dommage de laisser les projecteurs sur les États-Unis et la Chine : tout à l’heure, tous les yeux seront braqués sur la voie américaine ou la voie chinoise – Emmanuel Macron aurait certainement eu plus intérêt à faire la promotion de cette troisième voie, ce 21 septembre, en direct de New York.
Ici à New York, ils sont nombreux à se demander où est le président français, chantre du multilatéralisme, en pleine crise géopolitique à régler. Sans compter que les Premiers ministres britannique et australien, Boris Johnson et Scott Morrison, sont très présents depuis le 20 septembre dans l’espace médiatique de l’ONU.
De nombreuses interrogations
Autre interrogation : pourquoi le président français a-t-il envoyé son ministre des Affaires étrangères à sa place ? Le planning des discours étant régi par l’ordre protocolaire, la France se retrouve donc à parler le dernier jour au lieu du premier !D’autres critiques estiment enfin dommage de laisser les projecteurs sur les États-Unis et la Chine : tout à l’heure, tous les yeux seront braqués sur la voie américaine ou la voie chinoise – Emmanuel Macron aurait certainement eu plus intérêt à faire la promotion de cette troisième voie, ce 21 septembre, en direct de New York.
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