S’il y a un secteur où l’Afrique s’est, tristement, illustrée, c’est sur le plan des coups d’Etat. Selon le Secrétaire général de la Rencontre africaine des droits l’homme,(RADDHO) Alioune Tine, « en 50 ans, l’Afrique a connu 52 coups d’Etats». Il a fait cette révélation au cours d'une intervention qu'il faisait hier au 2e forum pan-africain sur la démocratie et la coopération qui se tient à l'Université Cheikh Anta Diop.
Pour lui, ce résultat est lié au fait que les Etats n’étaient pas prêts. «Cela est dû à l’impréparation des élites politiques, militaires », explique Alioune Tine pour qui « en Afrique, on n’avait pas une vision prospective de la consolidation des indépendances».
«Après les indépendances, tous les pays ont été pratiquement, des dictatures civiles ou militaires avec des partis uniques jusqu’à la chute du mur de Berlin dans les années 90 où il y a eu des processus démocratiques», ajoute le Secrétaire général de la RADDHO.
Pour conclure, il constate que "les uns ont connu des réussites, d’autres ont été chaotiques en aboutissant à des conflits armés. Même si l’Afrique est, maintenant, en train de revoir sa voie avec une tendance lourde sur «ce qu’on appelle la succession monarchique»".
Pour lui, ce résultat est lié au fait que les Etats n’étaient pas prêts. «Cela est dû à l’impréparation des élites politiques, militaires », explique Alioune Tine pour qui « en Afrique, on n’avait pas une vision prospective de la consolidation des indépendances».
«Après les indépendances, tous les pays ont été pratiquement, des dictatures civiles ou militaires avec des partis uniques jusqu’à la chute du mur de Berlin dans les années 90 où il y a eu des processus démocratiques», ajoute le Secrétaire général de la RADDHO.
Pour conclure, il constate que "les uns ont connu des réussites, d’autres ont été chaotiques en aboutissant à des conflits armés. Même si l’Afrique est, maintenant, en train de revoir sa voie avec une tendance lourde sur «ce qu’on appelle la succession monarchique»".