Préparatifs dans les gradins du stade de Benguela avant la CAN 2010. AFP/Louise Redvers
On les attendait depuis un moment. Après quelques jours de cafouillage, les places pour la Coupe d'Afrique des Nations (CAN 2010) ont enfin été mises en vente la semaine dernière au guichet de deux banques angolaises dans les quatre villes hôtes de la coupe.
La fabrication des billets a beaucoup tardé, notamment à cause du système mis en place pour empêcher leur reproduction illégale. A cause de ce retard, la vente sur internet est maintenant complètement exclue parce que trop longue à organiser. Les supporters étrangers devront donc se procurer des places via leur fédération respective.
A Luanda, l’engouement n’était pas palpable la semaine dernière dans les rues du centre-ville. Si tout le monde avait l’air agréablement surpris par le prix des billets dans les gradins, entre deux et six euros et jusqu’à treize euros pour la finale, il n’y avait pas foule autour des points de vente. D’après un employé du comité d’organisation de la CAN, les billets seraient beaucoup mieux partis dans les trois villes de province, mais aucun chiffre officiel n’a été publié pour l’instant.
Les fêtes de fin d’année passées, la fièvre du football devrait enfin gagner les habitants de la capitale angolaise dans les prochains jours.
La fabrication des billets a beaucoup tardé, notamment à cause du système mis en place pour empêcher leur reproduction illégale. A cause de ce retard, la vente sur internet est maintenant complètement exclue parce que trop longue à organiser. Les supporters étrangers devront donc se procurer des places via leur fédération respective.
A Luanda, l’engouement n’était pas palpable la semaine dernière dans les rues du centre-ville. Si tout le monde avait l’air agréablement surpris par le prix des billets dans les gradins, entre deux et six euros et jusqu’à treize euros pour la finale, il n’y avait pas foule autour des points de vente. D’après un employé du comité d’organisation de la CAN, les billets seraient beaucoup mieux partis dans les trois villes de province, mais aucun chiffre officiel n’a été publié pour l’instant.
Les fêtes de fin d’année passées, la fièvre du football devrait enfin gagner les habitants de la capitale angolaise dans les prochains jours.