Un demi-milliard de dollars. C’est le volume des échanges commerciaux entre l’Afrique du Sud et la Côte d’Ivoire que les deux pays veulent accroitre, notamment avec des accords de coopération bilatérale dans les domaines de la défense, de l’agriculture ou des hydrocarbures.
Les deux pays veulent accroitre leurs échanges, mais aussi peut-être les rééquilibrer, car aujourd’hui, si de grandes sociétés comme MTN ou Standard Bank sont implantées en Côte d’Ivoire, rares sont les entreprises ivoiriennes à travailler en Afrique du Sud. D’où l’appel d’Alassane Ouattara.
« Le message que je voudrais lancer est surtout l’endroit du secteur privé ivoirien, qui doit s’intéresser plus au marché sud-africain, peut-être le premier marché en Afrique, avec un PIB qui fait cinq fois le PIB de la Côte d’Ivoire, a dit le président ivoirien. Donc je voudrais que nos entreprises ivoiriennes de développer des partenariats en Afrique du Sud. »
Au-delà du commerce, les deux pays entendent aussi accorder leurs violons sur le plan diplomatique. Chaque année, il se consulteront lors de rencontres régulières pour coordonner leurs positions en matière de politique internationale. Des convergences de vue affichés dès jeudi en particulier sur le sujet brûlant de l’accès aux vaccins.
« S'unir »
« Vous et moi restons préoccupés par le fait que l'Afrique et le reste du monde en développement continuent de se battre contre un accès limité aux vaccins indispensables pour sauver des vies, a plaidé le président sud-africain Cyril Ramaphosa. Les gouvernements et les partenaires internationaux doivent s'unir autour d'une garantie mondiale qui assure que les vaccins et les traitements sont produits à grande échelle et mis à la disposition de tous, librement et équitablement. »
Cyril Ramaphosa a appelé hier à la levée des interdictions de voyages imposées à l’Afrique du Sud et à d’autres pays de la région en raison de la découverte du variant Omicron par des scientifiques sud-africains. Des fermetures de frontières qui ont déjà des conséquences majeures sur l’économie de son pays, a-t-il estimé.
Les deux pays veulent accroitre leurs échanges, mais aussi peut-être les rééquilibrer, car aujourd’hui, si de grandes sociétés comme MTN ou Standard Bank sont implantées en Côte d’Ivoire, rares sont les entreprises ivoiriennes à travailler en Afrique du Sud. D’où l’appel d’Alassane Ouattara.
« Le message que je voudrais lancer est surtout l’endroit du secteur privé ivoirien, qui doit s’intéresser plus au marché sud-africain, peut-être le premier marché en Afrique, avec un PIB qui fait cinq fois le PIB de la Côte d’Ivoire, a dit le président ivoirien. Donc je voudrais que nos entreprises ivoiriennes de développer des partenariats en Afrique du Sud. »
Au-delà du commerce, les deux pays entendent aussi accorder leurs violons sur le plan diplomatique. Chaque année, il se consulteront lors de rencontres régulières pour coordonner leurs positions en matière de politique internationale. Des convergences de vue affichés dès jeudi en particulier sur le sujet brûlant de l’accès aux vaccins.
« S'unir »
« Vous et moi restons préoccupés par le fait que l'Afrique et le reste du monde en développement continuent de se battre contre un accès limité aux vaccins indispensables pour sauver des vies, a plaidé le président sud-africain Cyril Ramaphosa. Les gouvernements et les partenaires internationaux doivent s'unir autour d'une garantie mondiale qui assure que les vaccins et les traitements sont produits à grande échelle et mis à la disposition de tous, librement et équitablement. »
Cyril Ramaphosa a appelé hier à la levée des interdictions de voyages imposées à l’Afrique du Sud et à d’autres pays de la région en raison de la découverte du variant Omicron par des scientifiques sud-africains. Des fermetures de frontières qui ont déjà des conséquences majeures sur l’économie de son pays, a-t-il estimé.