En République démocratique du Congo (RDC), la Cour constitutionnelle se penche ce 8 janvier sur les recours déposés après la proclamation le 31 décembre par la Commission électorale nationale indépendante (Céni) des résultats provisoires de la présidentielle qui s’est tenue à partir du 20 décembre.
Selon les chiffres de la Céni, le président sortant, Félix Tshisekedi, remporte la victoire avec plus de 73% des suffrages.
Deux recours doivent être examinés ce lundi matin : celui d’un citoyen congolais qui n’a pas participé au processus et celui d’un des candidats malheureux.
Dans les toutes dernières heures mercredi dernier, la Cour constitutionnelle a en effet enregistré deux dépôts, rappelle notre envoyée spéciale à Kinshasa, Paulina Zidi : un seul d’un candidat, celui de Théodore Ngoy, arrivé dernier de cette présidentielle avec 0,02% des voix. Une requête pour obtenir l’annulation du scrutin. Théodore Ngoy met en avant des irrégularités.
Le camp présidentiel a aussi affuté ses arguments
Durant l’audience prévue ce lundi, cet avocat de profession va donc devoir apporter la preuve de ses accusations. « C’est un débat devant l’histoire, a-t-il prévenu, pour mettre la Commission électorale devant sa responsabilité ».
En face, le camp présidentiel a aussi affuté ses arguments : « Nos avocats travaillent dessus », confiait en fin de semaine, le directeur de campagne du président, Jacquemain Shabani.
Selon les chiffres de la Céni, le président sortant, Félix Tshisekedi, remporte la victoire avec plus de 73% des suffrages.
Deux recours doivent être examinés ce lundi matin : celui d’un citoyen congolais qui n’a pas participé au processus et celui d’un des candidats malheureux.
Dans les toutes dernières heures mercredi dernier, la Cour constitutionnelle a en effet enregistré deux dépôts, rappelle notre envoyée spéciale à Kinshasa, Paulina Zidi : un seul d’un candidat, celui de Théodore Ngoy, arrivé dernier de cette présidentielle avec 0,02% des voix. Une requête pour obtenir l’annulation du scrutin. Théodore Ngoy met en avant des irrégularités.
Le camp présidentiel a aussi affuté ses arguments
Durant l’audience prévue ce lundi, cet avocat de profession va donc devoir apporter la preuve de ses accusations. « C’est un débat devant l’histoire, a-t-il prévenu, pour mettre la Commission électorale devant sa responsabilité ».
En face, le camp présidentiel a aussi affuté ses arguments : « Nos avocats travaillent dessus », confiait en fin de semaine, le directeur de campagne du président, Jacquemain Shabani.