Ce mardi, au cours d’un point de presse, ces travailleurs en rogne ont fait part de leur furie contre les autorités, avant de donner les raisons de leur grève de trois jours. « Depuis 2006, nous courrons derrière un protocole d’accord qui a été signé pour l’obtention d’une subvention liée à la coopérative d’habitat. Et la réévaluation de la prime de risque », a fustigé le secrétaire général du syndicat, Abdourahmane Cissokho qui renseigne que leurs tentatives de négociations étaient restées vaines.
Ce qui a incité les travailleurs du pétrole et du gaz à recourir à une autre mesure beaucoup plus expressive. « Nous allons décréter une grève générale sur toute l’étendue du territoire national, les 23, 24 et 25 janvier prochains », a annoncé dans les colonnes du « Quotidien » M. Cissokho qui explique leur courroux par le fait que le ministre de l’énergie ne leur a « jamais reçus depuis son installation dans ce ministère ». Néanmoins, le syndicat été régulièrement reçu par Madické Niang, Samuel Sarr et Macky Sall du temps de leur magistère, regrette le syndicaliste.
Face à ce manque de considération dont fait montre le ministre de l’énergie, la grève risque de secouer fortement les consommateurs, d’autant plus que les chauffeurs de transports hydrocarbures décident également de venir gonfler les rangs des grévistes.
Ce qui a incité les travailleurs du pétrole et du gaz à recourir à une autre mesure beaucoup plus expressive. « Nous allons décréter une grève générale sur toute l’étendue du territoire national, les 23, 24 et 25 janvier prochains », a annoncé dans les colonnes du « Quotidien » M. Cissokho qui explique leur courroux par le fait que le ministre de l’énergie ne leur a « jamais reçus depuis son installation dans ce ministère ». Néanmoins, le syndicat été régulièrement reçu par Madické Niang, Samuel Sarr et Macky Sall du temps de leur magistère, regrette le syndicaliste.
Face à ce manque de considération dont fait montre le ministre de l’énergie, la grève risque de secouer fortement les consommateurs, d’autant plus que les chauffeurs de transports hydrocarbures décident également de venir gonfler les rangs des grévistes.