Lors de la clôture de l'atelier de partage des résultats du projet de renforcement de la prise en charge décentralisée des enfants vivant avec le VIH au Sénégal, effectuée ce mercredi à Dakar, le Dr Ndeye Bineta Ndiaye, responsable du bureau prise des traitements au niveau de la division lutte contre le Sida et les Infections sexuellement transmissibles (IST), a exprimé sa satisfaction quant aux avancées réalisées.
À l’en croire, ce projet, sa mise en place il y a trois ans dans neuf (9) régions du Sénégal, fait suite à une enquête réalisée en 2015 qui révélait un échec thérapeutique chez les enfants suivis dans les centres de prise en charge. Son objectif était de corriger ces imperfections et d'améliorer la qualité de la prise en charge des enfants vivant avec le VIH. Aujourd'hui, grâce aux efforts déployés, des progrès significatifs ont été réalisés.
« Actuellement, dans neuf régions du Sénégal, nous avons identifié des pédiatres référents et mis en place des pôles régionaux dédiés », a déclaré le Dr Ndiaye. « Des acteurs ont été formés, et le projet a permis de mettre en place un référentiel de formation ainsi qu'une plateforme d'échanges entre les prestataires de santé. »
Le projet a également permis de garantir une prise en charge optimale à environ 1 500 enfants vivant avec le VIH. Ces enfants ont bénéficié d'un soutien médical complet, comprenant un accès au traitement, un appui en transport pour leurs consultations et suivis médicaux. L'objectif de cette initiative est de garantir à chaque enfant une vie saine et normale, leur offrant ainsi les mêmes opportunités que les autres enfants.
Le Dr Ndiaye a souligné l'importance de la campagne « Tenons un enfant à la main », qui vise à accompagner ces enfants dans leur parcours de soins. « Chaque enfant mérite d'être en bonne santé, de vivre normalement et de pouvoir prétendre à une vie semblable à celle de tous les autres enfants », a-t-elle affirmé.
Le projet de renforcement de la prise en charge décentralisée des enfants vivant avec le VIH au Sénégal est un exemple concret de l'engagement du pays à lutter contre le VIH et à garantir des soins adaptés à tous, en particulier aux enfants. Les résultats obtenus jusqu'à présent sont prometteurs et ouvrent la voie à une amélioration continue de la prise en charge de cette population vulnérable.
À l’en croire, ce projet, sa mise en place il y a trois ans dans neuf (9) régions du Sénégal, fait suite à une enquête réalisée en 2015 qui révélait un échec thérapeutique chez les enfants suivis dans les centres de prise en charge. Son objectif était de corriger ces imperfections et d'améliorer la qualité de la prise en charge des enfants vivant avec le VIH. Aujourd'hui, grâce aux efforts déployés, des progrès significatifs ont été réalisés.
« Actuellement, dans neuf régions du Sénégal, nous avons identifié des pédiatres référents et mis en place des pôles régionaux dédiés », a déclaré le Dr Ndiaye. « Des acteurs ont été formés, et le projet a permis de mettre en place un référentiel de formation ainsi qu'une plateforme d'échanges entre les prestataires de santé. »
Le projet a également permis de garantir une prise en charge optimale à environ 1 500 enfants vivant avec le VIH. Ces enfants ont bénéficié d'un soutien médical complet, comprenant un accès au traitement, un appui en transport pour leurs consultations et suivis médicaux. L'objectif de cette initiative est de garantir à chaque enfant une vie saine et normale, leur offrant ainsi les mêmes opportunités que les autres enfants.
Le Dr Ndiaye a souligné l'importance de la campagne « Tenons un enfant à la main », qui vise à accompagner ces enfants dans leur parcours de soins. « Chaque enfant mérite d'être en bonne santé, de vivre normalement et de pouvoir prétendre à une vie semblable à celle de tous les autres enfants », a-t-elle affirmé.
Le projet de renforcement de la prise en charge décentralisée des enfants vivant avec le VIH au Sénégal est un exemple concret de l'engagement du pays à lutter contre le VIH et à garantir des soins adaptés à tous, en particulier aux enfants. Les résultats obtenus jusqu'à présent sont prometteurs et ouvrent la voie à une amélioration continue de la prise en charge de cette population vulnérable.