Barthélémy Diatta, le jeune homme enlevé à Santhiaba Manjacque, un village situé non loin du parc de Basse-Casamance (sud), le 22 janvier dernier, par les éléments de la faction dissidente du camps du chef rebelle César Atoute Badiate, n'est toujours pas libéré. Les discussions pour sa libération n'ont pas encore porté leurs fruits.
En effet, ses ravisseurs auraient posé sur la table des négociations des conditions auxquelles n'auraient pas cédé les autorités, informe la Rfm qui donne les nouvelles de l'otage. "Il se porte bien et il serait bien traité par ses ravisseurs", rapporte la même source.
Qui renseigne que si les négociations sont au point mort, c'est parce que les rebelles n'ont pas apprécié le fait que les populations de Santhiaba Manjacque, dans leur volonté de retourner sur les sites de relogements, s'approchent de si près de la ligne rouge, dernier verrou d'accès de leur base.
Mieux, révèlent des sources de la radio, l'armée a la volonté d'intervenir pour faire libérer Barthélémy Diatta mais elle prendrait en compte le risque de le faire tuer avec cette option. Raison pour laquelle, ont-elles ajouté, elle laisse encore le soin aux médiateurs d'agir afin d'obtenir la libération du jeune sang verser le sang.
Pour rappel, la victime prenait part à des travaux communautaires de débroussaillement sur les sites de relogement des populations déplacées.
En effet, ses ravisseurs auraient posé sur la table des négociations des conditions auxquelles n'auraient pas cédé les autorités, informe la Rfm qui donne les nouvelles de l'otage. "Il se porte bien et il serait bien traité par ses ravisseurs", rapporte la même source.
Qui renseigne que si les négociations sont au point mort, c'est parce que les rebelles n'ont pas apprécié le fait que les populations de Santhiaba Manjacque, dans leur volonté de retourner sur les sites de relogements, s'approchent de si près de la ligne rouge, dernier verrou d'accès de leur base.
Mieux, révèlent des sources de la radio, l'armée a la volonté d'intervenir pour faire libérer Barthélémy Diatta mais elle prendrait en compte le risque de le faire tuer avec cette option. Raison pour laquelle, ont-elles ajouté, elle laisse encore le soin aux médiateurs d'agir afin d'obtenir la libération du jeune sang verser le sang.
Pour rappel, la victime prenait part à des travaux communautaires de débroussaillement sur les sites de relogement des populations déplacées.
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