Cette raison n'a jamais été acceptée en Roumanie et en Bulgarie. La Roumanie estime que ses frontières sont beaucoup plus sûres que celles d'autres pays, d'autant que c'est une sociéte franco-allemande, EADS, qui a pris en charge la sécurisation des frontières roumaines.
La crainte d'un afflux de Bulgares et de Roumains
Aujourd'hui, les deux pays montrent du doigt les dirigeants politiques européens. Selon les autorités roumaines, les pays occidentaux s'opposent a l'entrée de Bucarest et de Sofia dans Schengen craignant l'arrivée d'une vague de Roumains et de Bulgares.
Une crainte infondée, estime-t-on à Bucarest car aujourd'hui déja, les Roumains et les Bulgares peuvent circuler librement dans d'autres pays européens, munis d'une simple carte d'identité.
Dépêche RFI