L'ancien Premier ministre du Sénégal Abdoul Mbaye a dénoncé lors de son entretien avec PressAfrik, les menaces et insultes qu'on lui a adressé par email après sa sortie sur les réseaux sociaux pour dénoncer l'intimidation de l'avocat Me El Haj Diouf, devant le Palais de justice, en plein exercice pour défendre sa cliente Adji Sarr
"Me El Hadji Diouf n'est pas dans une conférence de presse, ni dans une marche ou activité politique, mais dans une activité visant à défendre sa cliente. On ne doit pas l'intimider; le gêner ou l'empêcher de défendre sa cliente. C'est extrêmement grave. Je n'ai jamais vu ça au Sénégal".
Il a aussi souligné que c'est la première fois qu'il a vu pareil phénomène au Sénégal. Des citoyens insultés pour avoir donné leur avis.
L'ancien Premier ministre s'est également exprimé, au cours de cet entretien sur les sanctions de la CEDEAO contre le Mali. Selon lui, le Sénégal ne devait pas avoir la même posture que les autres états membres de la CEDEAO, compte tenu de ses relations socio-économiques et géographiques avec ce pays. Il affirme qu'il revenait aux autorités sénégalaises de retarder les sanctions en privilégiant le dialogue. Entretien !
"Me El Hadji Diouf n'est pas dans une conférence de presse, ni dans une marche ou activité politique, mais dans une activité visant à défendre sa cliente. On ne doit pas l'intimider; le gêner ou l'empêcher de défendre sa cliente. C'est extrêmement grave. Je n'ai jamais vu ça au Sénégal".
Il a aussi souligné que c'est la première fois qu'il a vu pareil phénomène au Sénégal. Des citoyens insultés pour avoir donné leur avis.
L'ancien Premier ministre s'est également exprimé, au cours de cet entretien sur les sanctions de la CEDEAO contre le Mali. Selon lui, le Sénégal ne devait pas avoir la même posture que les autres états membres de la CEDEAO, compte tenu de ses relations socio-économiques et géographiques avec ce pays. Il affirme qu'il revenait aux autorités sénégalaises de retarder les sanctions en privilégiant le dialogue. Entretien !