Aux Fédéraux à qui on demande le pourquoi du comment, ils tentent une explication difficilement compréhensible : il faut créer un climat sain autour du match contre la Côte d’Ivoire.
C’est à rien n’y comprendre sinon en quoi la levée de la suspension de Diouf peut créer un climat de confiance ?
A moins que la Fédération ait une idée derrière la tête, gracier El Hadj Diouf et pousser l’entraîneur national, Joseph Koto à le sélectionner pour le match contre la Côte d’Ivoire.
El Hadj Diouf a assiégé les rédactions pour clamer tout haut qu’il est l’homme de la situation pour permettre aux Lions de se qualifier après le match perdu 2-4 à Abidja, phase aller du dernier tour des éliminatoires de la CAN 2013.
Et une sortie d’un haut cadre de la Fédération vient tout confirmer : Si El Hadj était à Abidjan, on n’aurait perdu pas ce match.
Ce serait grave et insensé. Et ce serait une insulte à l’intelligence des Sénégalais que de rappeler un joueur qu’aucun club du haut niveau en Angleterre ne juge digne de pouvoir évoluer sous ses couleurs.
Mieux encore, en sélection, Diouf va jouer à la place de qui pour pouvoir faire déjouer les Eléphants ivoiriens le 13 octobre prochain au stade Léopold Sédar Senghor ?
La question mérite d’être posée parce que le problème des Lions ne se situe pas devant mais derrière et peut-être s’il y a un rappel aux anciens à faire, ce serait plus pertinent de rappeler Abdoulaye Diagne Faye qui fait un bon début de saison avec Hull City ?
Quant à El Hadj Diouf, si nul ne peut douter de son patriotisme, de sa volonté de ramener les Lions au devant des scènes africaines et mondiales, il faut reconnaître et être juste qu’il n’en a plus les moyens … physiques.
Où était-il quand la Gambie venait faire match nul 1-1 contre le Sénégal au stade Léopold Sédar Senghor et éliminer les Lions de toutes les compétitions de 2010.
Et ironie du sort ce soir-là, Lamine Ndiaye aidé en cela par une presse mal lunée, avait cru bon de déterrer deux autres dinosaures, Salif Diao et Khalilou Fadiga. Mais ni l’un ni l’autre n’a pu terminer la rencontre à la grande joie des Scorpions qui s’en étaient donnés à cœur joie.
La Fédération sénégalaise de football (FSF) a la gestion des affaires du football et la pression est forte, surtout que quelques personnalités qui croient tout comprendre ont juré à El Hadj Diouf de le faire revenir en sélection.
Mais ces personnalités connaissent peut-être bien leur domaine d’activités mais en football, elles ne ignorent tout ou presque.
Et si elles pensent que les sorties médiatiques de Diouf qui n’arrive plus à exister en Angleterre englué qu’il est dans l’anonymat de la deuxième division anglaise, suffisent à régler le problème, elles seront à l’origine d’une grosse désillusion et la FSF ne serait pas épargnée d’un tel désastre.
Le match de Dakar contre les Eléphants revêt une importance capitale et requiert la présence de joueurs en pleine possession de leurs moyens. Et dans un secteur de jeu où on est en manque et dans le cas d’espèce pour le Sénégal c’est en défense, pas au milieu de terrain ni en attaque. Exit donc El Hadj Diouf ! Il faut savoir tourner la page et nul n’est indispensable surtout en équipe nationale du Sénégal.
Source : Ndamli.sn
C’est à rien n’y comprendre sinon en quoi la levée de la suspension de Diouf peut créer un climat de confiance ?
A moins que la Fédération ait une idée derrière la tête, gracier El Hadj Diouf et pousser l’entraîneur national, Joseph Koto à le sélectionner pour le match contre la Côte d’Ivoire.
El Hadj Diouf a assiégé les rédactions pour clamer tout haut qu’il est l’homme de la situation pour permettre aux Lions de se qualifier après le match perdu 2-4 à Abidja, phase aller du dernier tour des éliminatoires de la CAN 2013.
Et une sortie d’un haut cadre de la Fédération vient tout confirmer : Si El Hadj était à Abidjan, on n’aurait perdu pas ce match.
Ce serait grave et insensé. Et ce serait une insulte à l’intelligence des Sénégalais que de rappeler un joueur qu’aucun club du haut niveau en Angleterre ne juge digne de pouvoir évoluer sous ses couleurs.
Mieux encore, en sélection, Diouf va jouer à la place de qui pour pouvoir faire déjouer les Eléphants ivoiriens le 13 octobre prochain au stade Léopold Sédar Senghor ?
La question mérite d’être posée parce que le problème des Lions ne se situe pas devant mais derrière et peut-être s’il y a un rappel aux anciens à faire, ce serait plus pertinent de rappeler Abdoulaye Diagne Faye qui fait un bon début de saison avec Hull City ?
Quant à El Hadj Diouf, si nul ne peut douter de son patriotisme, de sa volonté de ramener les Lions au devant des scènes africaines et mondiales, il faut reconnaître et être juste qu’il n’en a plus les moyens … physiques.
Où était-il quand la Gambie venait faire match nul 1-1 contre le Sénégal au stade Léopold Sédar Senghor et éliminer les Lions de toutes les compétitions de 2010.
Et ironie du sort ce soir-là, Lamine Ndiaye aidé en cela par une presse mal lunée, avait cru bon de déterrer deux autres dinosaures, Salif Diao et Khalilou Fadiga. Mais ni l’un ni l’autre n’a pu terminer la rencontre à la grande joie des Scorpions qui s’en étaient donnés à cœur joie.
La Fédération sénégalaise de football (FSF) a la gestion des affaires du football et la pression est forte, surtout que quelques personnalités qui croient tout comprendre ont juré à El Hadj Diouf de le faire revenir en sélection.
Mais ces personnalités connaissent peut-être bien leur domaine d’activités mais en football, elles ne ignorent tout ou presque.
Et si elles pensent que les sorties médiatiques de Diouf qui n’arrive plus à exister en Angleterre englué qu’il est dans l’anonymat de la deuxième division anglaise, suffisent à régler le problème, elles seront à l’origine d’une grosse désillusion et la FSF ne serait pas épargnée d’un tel désastre.
Le match de Dakar contre les Eléphants revêt une importance capitale et requiert la présence de joueurs en pleine possession de leurs moyens. Et dans un secteur de jeu où on est en manque et dans le cas d’espèce pour le Sénégal c’est en défense, pas au milieu de terrain ni en attaque. Exit donc El Hadj Diouf ! Il faut savoir tourner la page et nul n’est indispensable surtout en équipe nationale du Sénégal.
Source : Ndamli.sn