Le lutteur Lac de Guiers 2 , arrêté avant-hier par les agents de terrain de la police, sera présenté ce jeudi, devant le parquet du Tribunal de grande instance de Guédiawaye ( banlieue dakaroise). Interpellé après plusieurs mois de recherches consécutives à une dizaine de lettres plaintes, il est poursuivi pour faits d’escroquerie présumée au visa, entre autres.
En effet, des individus avaient pris l’attache du leader de l’écurie Walo de Guédiawaye pour tenter de se rendre en Europe, précisément en Angleterre. Histoire de trouver un bon boulot puis faire fortune.
Les candidats au voyage se devaient de verser des sommes d’argent, dont les montants varient entre 2 à 6 millions F Cfa. Ce qui du reste constitue une condition sine qua en vue de se procurer un visa par l’entremise de Lac de Guiers 2. Ce dernier avait ainsi pris l’engagement à disposer du sésame et de rallier l’Angleterre. Les engagements du lutteur sont cependant restés lettre morte.
Les candidats au voyage ont alors saisi la justice. Après plusieurs mois de jeu du chat et de la souris avec les forces de police, il a été cueilli dès son retour au bercail, à son domicile, situé à la Cité des enseignants de Guédiawaye.
Selon Les Echos, les plaignants ont versé directement leurs sous, estimés à une vingtaine de millions de F Cfa.
En effet, des individus avaient pris l’attache du leader de l’écurie Walo de Guédiawaye pour tenter de se rendre en Europe, précisément en Angleterre. Histoire de trouver un bon boulot puis faire fortune.
Les candidats au voyage se devaient de verser des sommes d’argent, dont les montants varient entre 2 à 6 millions F Cfa. Ce qui du reste constitue une condition sine qua en vue de se procurer un visa par l’entremise de Lac de Guiers 2. Ce dernier avait ainsi pris l’engagement à disposer du sésame et de rallier l’Angleterre. Les engagements du lutteur sont cependant restés lettre morte.
Les candidats au voyage ont alors saisi la justice. Après plusieurs mois de jeu du chat et de la souris avec les forces de police, il a été cueilli dès son retour au bercail, à son domicile, situé à la Cité des enseignants de Guédiawaye.
Selon Les Echos, les plaignants ont versé directement leurs sous, estimés à une vingtaine de millions de F Cfa.