La rupture prônée par ce nouveau régime, c’est aussi de maintenir les femmes loin des instances dirigeantes ? C'est là, une question qui semble légitime et qui, de plus en plus, s'impose. Après la vague d’indignation suscitée par la première liste du gouvernement composée de 25 ministres dont seulement 4 femmes, les nominations du Conseil des ministres du mercredi 17 juillet viennent rallonger l’écart entre ces deux genres dans les instances de décisions. Sur 82 nominations, seule 7 femmes ont été pourvues contre 75 hommes.
Des chiffres inquiétants par rapport à la représentativité féminine, la promotion de la femme et son intégration dans les instances de décisions. Et la parité dans tout cela ? Que fait-on de cette loi sur la parité. Elle est plus appliquée dans les postes électifs que nominatifs.
Quand les féministes alertaient, beaucoup disaient que c’est très tôt. Après 3 mois à la tête du pays, sur 14 Conseils des ministres, les chiffres restent toujours déplorables. Est-il toujours tôt pour s’inquiéter de la place de la femme dans la gouvernance de ce nouveau régime ? En-tout-cas jusqu’au moment où ces lignes sont écrites, la question de la représentativité féminine reste pour toujours négligée. De toute évidence, les femmes attendent encore dans l'antichambre.
Des chiffres inquiétants par rapport à la représentativité féminine, la promotion de la femme et son intégration dans les instances de décisions. Et la parité dans tout cela ? Que fait-on de cette loi sur la parité. Elle est plus appliquée dans les postes électifs que nominatifs.
Quand les féministes alertaient, beaucoup disaient que c’est très tôt. Après 3 mois à la tête du pays, sur 14 Conseils des ministres, les chiffres restent toujours déplorables. Est-il toujours tôt pour s’inquiéter de la place de la femme dans la gouvernance de ce nouveau régime ? En-tout-cas jusqu’au moment où ces lignes sont écrites, la question de la représentativité féminine reste pour toujours négligée. De toute évidence, les femmes attendent encore dans l'antichambre.