Le ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et aériens, Malick Ndiaye, a clôturé ce vendredi 25 octobre les États Généraux des Transports publics, qui se sont déroulés à Diamniadio du 21 au 25 octobre. Cet événement a rassemblé des experts et divers acteurs du transport public pour discuter des défis et envisager des solutions durables pour le secteur au Sénégal.
Lors de son discours, Malick Ndiaye a exprimé sa satisfaction quant aux échanges constructifs et l'engagement des participants. « Pendant cinq jours, vous avez, à travers des discours et des échanges structurels, revisité intensément et avec objectivité les contours de notre système de transport public routier, ferroviaire, aérien et maritime. Permettez-moi ainsi, au nom du président de la République et du gouvernement, d'adresser à vous tous mes sincères remerciements pour votre contribution inestimable aux travaux engagés durant ces cinq derniers mois. »
Le ministre a insisté sur la valeur des échanges qui ont eu lieu, affirmant que les États Généraux ont permis de réduire les divergences entre les acteurs du secteur. « Les points de divergence entre acteurs sont passés de 12 sur les 50 sujets de discussion avant les assises à presque zéro. Je dis bien à presque zéro, parce que les points de divergence que j'ai entendus ici seront réglés dans la mesure où, pour la plupart, c'est entre structures de l’État. S'ils n'arrivent pas à s'entendre, l'autorité va décider », a-t-il déclaré. I
Il a également remercié les citoyens sénégalais pour leur participation active à une enquête en ligne, précisant que « plus de 7300 réponses aux 15 questions posées ont été enregistrées, avec en sus presque 5000 contributions répertoriées. L'analyse des résultats de cette enquête reflète chez les usagers répondant le besoin d'une mobilité de qualité en toute sécurité et en toute sûreté. »
Renouveler et moderniser le parc des navires nationaux
De son côté, Fatou Diouf, ministre de la Pêche et de l'Économie maritime, a salué l’environnement inclusif et participatif des États Généraux. Elle a déclaré que « les États généraux des Transports se sont déroulés dans un environnement inclusif et participatif. Les discussions de ces derniers jours ont permis de souligner les besoins d'une approche plus intégrée et inclusive qui englobe tous les moyens de transport, y compris le maritime et le fluvio-maritime, qui jouent un rôle essentiel dans la connectivité de nos territoires avec l'intégration systématique de la multi-modalité. »
Elle a rappelé l'importance du secteur maritime, affirmant que « le Sénégal, sur le plan maritime, présente de nombreux acteurs. Aujourd'hui, notre objectif est de faire de ce secteur un levier de croissance durable et inclusive en parfaite synergie avec les secteurs terrestre et aérien. »
Fatou Diouf a également précisé que son département s'inscrit dans la « vision 2050 » de l'État du Sénégal en matière de transport. Mme Diouf a indiqué l’ambition « de renouveler et moderniser le parc des navires nationaux. Cette ambition va se réaliser par le biais du consortium sénégalais des activités maritimes dans lequel l'État est majoritaire. Ceci étant dit, je tiens à remercier tous les participants pour leurs contributions passionnantes et fortifiées. Ensemble, des défis ont été identifiés mais surtout des solutions innovantes mises en lumière », a-t-elle ajouté.
Enfin, Malick Ndiaye a assuré que le rapport définitif des États Généraux sera soumis au chef de l’État pour validation et mise en œuvre. « Soyez-en convaincus, rien, je dis bien rien de ce qui a été fait et dit ici à Diamniadio ne sera vain, encore moins rangé aux oubliettes à la suite de cette validation. À cet égard, il sera proposé à la très haute autorité un conseil présidentiel autour des recommandations issues de vos travaux », a-t-il affirmé. À l'en croire le gouvernement s'engage à organiser un suivi trimestriel et une revue annuelle de l’avancement des réformes, conformément à « l’exigence constitutionnelle » de transparence et d’information des citoyens.
Lors de son discours, Malick Ndiaye a exprimé sa satisfaction quant aux échanges constructifs et l'engagement des participants. « Pendant cinq jours, vous avez, à travers des discours et des échanges structurels, revisité intensément et avec objectivité les contours de notre système de transport public routier, ferroviaire, aérien et maritime. Permettez-moi ainsi, au nom du président de la République et du gouvernement, d'adresser à vous tous mes sincères remerciements pour votre contribution inestimable aux travaux engagés durant ces cinq derniers mois. »
Le ministre a insisté sur la valeur des échanges qui ont eu lieu, affirmant que les États Généraux ont permis de réduire les divergences entre les acteurs du secteur. « Les points de divergence entre acteurs sont passés de 12 sur les 50 sujets de discussion avant les assises à presque zéro. Je dis bien à presque zéro, parce que les points de divergence que j'ai entendus ici seront réglés dans la mesure où, pour la plupart, c'est entre structures de l’État. S'ils n'arrivent pas à s'entendre, l'autorité va décider », a-t-il déclaré. I
Il a également remercié les citoyens sénégalais pour leur participation active à une enquête en ligne, précisant que « plus de 7300 réponses aux 15 questions posées ont été enregistrées, avec en sus presque 5000 contributions répertoriées. L'analyse des résultats de cette enquête reflète chez les usagers répondant le besoin d'une mobilité de qualité en toute sécurité et en toute sûreté. »
Renouveler et moderniser le parc des navires nationaux
De son côté, Fatou Diouf, ministre de la Pêche et de l'Économie maritime, a salué l’environnement inclusif et participatif des États Généraux. Elle a déclaré que « les États généraux des Transports se sont déroulés dans un environnement inclusif et participatif. Les discussions de ces derniers jours ont permis de souligner les besoins d'une approche plus intégrée et inclusive qui englobe tous les moyens de transport, y compris le maritime et le fluvio-maritime, qui jouent un rôle essentiel dans la connectivité de nos territoires avec l'intégration systématique de la multi-modalité. »
Elle a rappelé l'importance du secteur maritime, affirmant que « le Sénégal, sur le plan maritime, présente de nombreux acteurs. Aujourd'hui, notre objectif est de faire de ce secteur un levier de croissance durable et inclusive en parfaite synergie avec les secteurs terrestre et aérien. »
Fatou Diouf a également précisé que son département s'inscrit dans la « vision 2050 » de l'État du Sénégal en matière de transport. Mme Diouf a indiqué l’ambition « de renouveler et moderniser le parc des navires nationaux. Cette ambition va se réaliser par le biais du consortium sénégalais des activités maritimes dans lequel l'État est majoritaire. Ceci étant dit, je tiens à remercier tous les participants pour leurs contributions passionnantes et fortifiées. Ensemble, des défis ont été identifiés mais surtout des solutions innovantes mises en lumière », a-t-elle ajouté.
Enfin, Malick Ndiaye a assuré que le rapport définitif des États Généraux sera soumis au chef de l’État pour validation et mise en œuvre. « Soyez-en convaincus, rien, je dis bien rien de ce qui a été fait et dit ici à Diamniadio ne sera vain, encore moins rangé aux oubliettes à la suite de cette validation. À cet égard, il sera proposé à la très haute autorité un conseil présidentiel autour des recommandations issues de vos travaux », a-t-il affirmé. À l'en croire le gouvernement s'engage à organiser un suivi trimestriel et une revue annuelle de l’avancement des réformes, conformément à « l’exigence constitutionnelle » de transparence et d’information des citoyens.