En acceptant officiellement sa nomination, J.D. Vance devient l’un plus jeunes candidats au poste de vice-président des États-Unis à 39 ans. Devant la convention républicaine, le sénateur de l’Ohio raconte son histoire, se décrivant comme l’incarnation du « rêve américain ». C'est l’histoire d’un enfant issu de cette Amérique blanche déclassée, élevé dans la pauvreté par une mère toxicomane, puis devenu sénateur de l’Ohio en 2022.
Désormais colistier de Donald Trump, J.D. Vance promet de défendre la classe ouvrière américaine en particulier dans son État-clé de la « Rust Belt » désindustrialisée dont il est issu et qui fait partie des États où se joue l’élection présidentielle. « On va construire de nouvelles usines. On va arrêter d’acheter notre énergie à des pays qui nous détestent et on va le produire ici, avec des travailleurs américains, en Pennsylvanie, en Ohio et dans tout le pays », a-t-il lancé.
J.D. Vance représente aussi une famille savamment mise en scène : ses trois enfants métis et sa femme Usha, fille d’immigrés indiens, rencontrée lorsqu’ils étaient étudiants en droit à la prestigieuse université de Yale. Il a aussi un passé de vétéran de l’armée passé par l’Irak. Pour les délégués républicains, toutes les cases du parfait colistier sont cochées : « Il représente le rêve américain. À 39 ans, avec un tel parcours, il va devenir un leader de notre pays », lance un Américain présent. « C’est un fort et on voit qu’il aime sa femme quand il la regarde », assure une militante.
L'incarnation de la ligne dure du mouvement trumpiste
Politiquement, J.D. Vance incarne la ligne dure du mouvement trumpiste en étant farouchement anti-immigration, anti-avortement, anti-écologie et favorable à l’arrêt de l’aide militaire à l’Ukraine.
« Il apporte son expérience de marine vétéran de guerre, celle d’entrepreneur avec une compréhension de la tech avec beaucoup de soutiens dans cette industrie. Et il apporte de l’énergie. Il n’est pas un néo-conservateur. Il est contre de nouvelles guerres. Je crois qu’il peut séduire les électeurs de la classe ouvrière catholique du Midwest. Il a des origines humbles, une histoire extraordinaire. Il incarne le rêve américain. Le Parti républicain a changé, nous ne sommes plus le parti de Wall Street et de l’élite dirigeante. Nous sommes le parti de la classe moyenne et ouvrière américaine, le parti de l’Amérique d’abord. C’est un parti complètement renouvelé. C’est pour ces raisons que je pense qu’il est le parfait colistier », a analysé Roger Stone, conseiller historique de Donald Trump et grande figure républicaine.
Désormais colistier de Donald Trump, J.D. Vance promet de défendre la classe ouvrière américaine en particulier dans son État-clé de la « Rust Belt » désindustrialisée dont il est issu et qui fait partie des États où se joue l’élection présidentielle. « On va construire de nouvelles usines. On va arrêter d’acheter notre énergie à des pays qui nous détestent et on va le produire ici, avec des travailleurs américains, en Pennsylvanie, en Ohio et dans tout le pays », a-t-il lancé.
J.D. Vance représente aussi une famille savamment mise en scène : ses trois enfants métis et sa femme Usha, fille d’immigrés indiens, rencontrée lorsqu’ils étaient étudiants en droit à la prestigieuse université de Yale. Il a aussi un passé de vétéran de l’armée passé par l’Irak. Pour les délégués républicains, toutes les cases du parfait colistier sont cochées : « Il représente le rêve américain. À 39 ans, avec un tel parcours, il va devenir un leader de notre pays », lance un Américain présent. « C’est un fort et on voit qu’il aime sa femme quand il la regarde », assure une militante.
L'incarnation de la ligne dure du mouvement trumpiste
Politiquement, J.D. Vance incarne la ligne dure du mouvement trumpiste en étant farouchement anti-immigration, anti-avortement, anti-écologie et favorable à l’arrêt de l’aide militaire à l’Ukraine.
« Il apporte son expérience de marine vétéran de guerre, celle d’entrepreneur avec une compréhension de la tech avec beaucoup de soutiens dans cette industrie. Et il apporte de l’énergie. Il n’est pas un néo-conservateur. Il est contre de nouvelles guerres. Je crois qu’il peut séduire les électeurs de la classe ouvrière catholique du Midwest. Il a des origines humbles, une histoire extraordinaire. Il incarne le rêve américain. Le Parti républicain a changé, nous ne sommes plus le parti de Wall Street et de l’élite dirigeante. Nous sommes le parti de la classe moyenne et ouvrière américaine, le parti de l’Amérique d’abord. C’est un parti complètement renouvelé. C’est pour ces raisons que je pense qu’il est le parfait colistier », a analysé Roger Stone, conseiller historique de Donald Trump et grande figure républicaine.
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