« Il y a sept péchés sociaux,..., la Politique sans les Principes, la Fortune sans le Travail, le Savoir sans la Personnalité, les Affaires sans la Moralité, la Science sans l'Humanité, le Culte sans le Sacrifice et la Jouissance sans la Conscience ». [Vikas SWARUP]
J’ai été surpris par les propos et menaces du grand-frère, confrère et consultant Adama Gaye, ancien de Jeune Afrique, de Africa N°1, de Water…, et devenu spécialiste des « Dragons de l’Asie » en général et de la Chine, en particulier.
J’ai eu des frayeurs, en lisant ceci : « MACKY SALL, dis à ton petit frère de rembourser tout. Je vous ai connu tous les deux pauvres. Souviens-TOI du jour où tu es venu me voir au Novotel Dakar ou du premier Contrat de pétrole que je t'ai fait obtenir (pour le Sénégal) grâce à mon ami, Dr. Rilwanu Lukman, ex. Président-Secrétaire général de l'OPEP, ou de notre virée à Rotterdam. J'ai aussi le dossier Frank Timis. Et le reste. Les gens qui parlent ne savent pas. Si je parle, tu tombes, un point, un trait ».
Le ton usité justifie ou laisse subodorer, pour ceux qui ne vous connaissent pas, votre ego surdimensionné. Mais où est le fameux article pour offense au chef de l‘Etat ? Vous êtes vraiment la chance d’être dans un pays plus que démocratique qui s’appelle le Sénégal.
Cher confrère, depuis quand êtes-vous devenu un délateur ? Ne doit-on pas aussi vous accuser de complicité, car comme le laissent penser vos menaces, si ce que vous dites est vrai, vous saviez dès le départ des choses… sur Frank Timis, Macky Sall et cie, et les avez tues.
Peut-être au gré de vos intérêts…, changeants, de régime en régime.
Par ce comportement répréhensible, ne donnez-vous pas raison à Me Abdoulaye Wade qui disait que « dans beaucoup de pays, quand les gens ouvrent la bouche c’est qu’ils sont devant le dentiste, alors qu’au Sénégal, on ne la ferme que pour dormir ». Et Grand Adama, vous qui êtes souvent entre deux avions, connaissiez bien ces pays pour y avoir séjourné et/ou travaillé. N’est-ce pas ? Alors, pourquoi taire cela et venir, la menace à la bouche, promettre de faire tomber un Chef d’Etat… Il y a anguille sous roche. Je vous ai vu également virulent, contre la communication présidentielle et ses animateurs, avant de tirer à boulets rouges, insultant même le collège des délégués de l’ARTP…
Pourquoi tant de haine ? Penseriez-vous que vous êtes le seul qui mérite toutes les places importantes ? Tel serait le cas, vous ne pourriez pas le faire, car elles sont nombreuses et vous seul. A moins que vous n’ayez le don d’ubiquité.
Vous trouvez juste qu’en lisant des monographies comme « The Quest » de Daniel YERGEN, « la référence mondiale pour les questions de pétrole », vous avez un mot à dire à ce sujet et le déniez à Aliou Sall qui, pourtant, était Ministre-conseiller, chef de la mission économique du Sénégal en Chine. Grand Adama, vous qui êtes « un adepte de la quête du savoir en permanence, sans arrêt, jusqu’à la fin des jours», vous le déniez aux autres ? Quelle contradiction ! Quel paradoxe !
Vous avez également été « Conseiller Afrique de la candidature de Londres aux Jeux Olympiques de 2012 », serait-il juste et sérieux pour cela (paiement pour service rendu), de vous traiter de corrompu ou de vous accuser de vol ? Je pense que non. Le fait d’avoir approché, connu ou introduit M. Frank Timis ou tout autre investisseur au Sénégal, ne fait pas de Aliou Sall un voleur. Encore moins du Président Macky Sall, un complice.
Vous aimez mettre en avant votre capacité à négocier des contrats, votre talent comme écrit dans un portait fait sur vous par le magazine « Icône » de notre confrère Mansour Dieng, « qui ont fini de convaincre chefs d’Etat, ministres, élus, hommes de pouvoir à tous les niveaux, industriels ou simples investisseurs à faire appel à vos services ». Pourquoi diable, Aliou Sall dont vous n’êtes en rien plus doué, n’aurait pas les mêmes capacités ? Le bon sens, n’est-il pas la chose la mieux partagée, comme dit dans « Le Discours de la Méthode » de Descartes ?
Non Adama, ne confondez pas vitesse et précipitation. Vous avez déjà parlé. Vous avez toujours parlé. Vous parlez encore et continuerez de parler, et même de trop parler…, mais cela n’a jamais ébranlé un régime. De Abdou Diouf à Macky Sall, en passant par Abdoulaye Wade qui vous a longtemps laissé caresser… le rêve de ministre ou de ministrable… Suivez mon regard ! Rires. Que d’encres versées, que de pages imprimées…, en ce temps, pour plaire au distributeur de « Téranga » !
Cher confrère, depuis quand la pauvreté est un défaut pour un intellectuel de votre trempe et qui plus, n’est pas né la cuillère d’or dans la bouche. Oui, vous êtes fils d’un commerçant et d’une ménagère, comme vous le rappelez dans les colonnes de « Icône » : « Mon père et ma mère n’ont pas été à l’école. Lui était commerçant, et elle, un pur produit du mouridisme ». Alors comme Aliou Sall et son frère, vous étiez également pauvre. Et ce qui est important, pour moi, c’est que de cette pauvreté, grâce à l’école publique, vous avez tous, pu vous faire. Et cela est un mérite.
Retenez pour de bon que la pauvreté comme la mort ou la maladie ne sont pas une honte. Ce qui l’est par contre, c’est de chercher…, par tous les moyens (bons ou mauvais) à exister, à compter… « Gudde Alle, bumu la takha war mbaam ! », que dis-je (?), « Mar bumula takha naan potit», cher grand-frère.
Aujourd’hui, en rapportant et en mettant sur la place publique des choses que vous avez partagées avec des gens, vous trahissez… Mais comme la trahison est une question de dates, nous vous laissons la vivre sous ses plus grandes et folles amours, tout en vous conseillant de ne pas ignorer que « tout est pardonnable, excepté le mensonge, l’infidélité et la trahison ». Honni soit qui, mal en pense !
Alassane Samba DIALLO, Citoyen sénégalais
J’ai été surpris par les propos et menaces du grand-frère, confrère et consultant Adama Gaye, ancien de Jeune Afrique, de Africa N°1, de Water…, et devenu spécialiste des « Dragons de l’Asie » en général et de la Chine, en particulier.
J’ai eu des frayeurs, en lisant ceci : « MACKY SALL, dis à ton petit frère de rembourser tout. Je vous ai connu tous les deux pauvres. Souviens-TOI du jour où tu es venu me voir au Novotel Dakar ou du premier Contrat de pétrole que je t'ai fait obtenir (pour le Sénégal) grâce à mon ami, Dr. Rilwanu Lukman, ex. Président-Secrétaire général de l'OPEP, ou de notre virée à Rotterdam. J'ai aussi le dossier Frank Timis. Et le reste. Les gens qui parlent ne savent pas. Si je parle, tu tombes, un point, un trait ».
Le ton usité justifie ou laisse subodorer, pour ceux qui ne vous connaissent pas, votre ego surdimensionné. Mais où est le fameux article pour offense au chef de l‘Etat ? Vous êtes vraiment la chance d’être dans un pays plus que démocratique qui s’appelle le Sénégal.
Cher confrère, depuis quand êtes-vous devenu un délateur ? Ne doit-on pas aussi vous accuser de complicité, car comme le laissent penser vos menaces, si ce que vous dites est vrai, vous saviez dès le départ des choses… sur Frank Timis, Macky Sall et cie, et les avez tues.
Peut-être au gré de vos intérêts…, changeants, de régime en régime.
Par ce comportement répréhensible, ne donnez-vous pas raison à Me Abdoulaye Wade qui disait que « dans beaucoup de pays, quand les gens ouvrent la bouche c’est qu’ils sont devant le dentiste, alors qu’au Sénégal, on ne la ferme que pour dormir ». Et Grand Adama, vous qui êtes souvent entre deux avions, connaissiez bien ces pays pour y avoir séjourné et/ou travaillé. N’est-ce pas ? Alors, pourquoi taire cela et venir, la menace à la bouche, promettre de faire tomber un Chef d’Etat… Il y a anguille sous roche. Je vous ai vu également virulent, contre la communication présidentielle et ses animateurs, avant de tirer à boulets rouges, insultant même le collège des délégués de l’ARTP…
Pourquoi tant de haine ? Penseriez-vous que vous êtes le seul qui mérite toutes les places importantes ? Tel serait le cas, vous ne pourriez pas le faire, car elles sont nombreuses et vous seul. A moins que vous n’ayez le don d’ubiquité.
Vous trouvez juste qu’en lisant des monographies comme « The Quest » de Daniel YERGEN, « la référence mondiale pour les questions de pétrole », vous avez un mot à dire à ce sujet et le déniez à Aliou Sall qui, pourtant, était Ministre-conseiller, chef de la mission économique du Sénégal en Chine. Grand Adama, vous qui êtes « un adepte de la quête du savoir en permanence, sans arrêt, jusqu’à la fin des jours», vous le déniez aux autres ? Quelle contradiction ! Quel paradoxe !
Vous avez également été « Conseiller Afrique de la candidature de Londres aux Jeux Olympiques de 2012 », serait-il juste et sérieux pour cela (paiement pour service rendu), de vous traiter de corrompu ou de vous accuser de vol ? Je pense que non. Le fait d’avoir approché, connu ou introduit M. Frank Timis ou tout autre investisseur au Sénégal, ne fait pas de Aliou Sall un voleur. Encore moins du Président Macky Sall, un complice.
Vous aimez mettre en avant votre capacité à négocier des contrats, votre talent comme écrit dans un portait fait sur vous par le magazine « Icône » de notre confrère Mansour Dieng, « qui ont fini de convaincre chefs d’Etat, ministres, élus, hommes de pouvoir à tous les niveaux, industriels ou simples investisseurs à faire appel à vos services ». Pourquoi diable, Aliou Sall dont vous n’êtes en rien plus doué, n’aurait pas les mêmes capacités ? Le bon sens, n’est-il pas la chose la mieux partagée, comme dit dans « Le Discours de la Méthode » de Descartes ?
Non Adama, ne confondez pas vitesse et précipitation. Vous avez déjà parlé. Vous avez toujours parlé. Vous parlez encore et continuerez de parler, et même de trop parler…, mais cela n’a jamais ébranlé un régime. De Abdou Diouf à Macky Sall, en passant par Abdoulaye Wade qui vous a longtemps laissé caresser… le rêve de ministre ou de ministrable… Suivez mon regard ! Rires. Que d’encres versées, que de pages imprimées…, en ce temps, pour plaire au distributeur de « Téranga » !
Cher confrère, depuis quand la pauvreté est un défaut pour un intellectuel de votre trempe et qui plus, n’est pas né la cuillère d’or dans la bouche. Oui, vous êtes fils d’un commerçant et d’une ménagère, comme vous le rappelez dans les colonnes de « Icône » : « Mon père et ma mère n’ont pas été à l’école. Lui était commerçant, et elle, un pur produit du mouridisme ». Alors comme Aliou Sall et son frère, vous étiez également pauvre. Et ce qui est important, pour moi, c’est que de cette pauvreté, grâce à l’école publique, vous avez tous, pu vous faire. Et cela est un mérite.
Retenez pour de bon que la pauvreté comme la mort ou la maladie ne sont pas une honte. Ce qui l’est par contre, c’est de chercher…, par tous les moyens (bons ou mauvais) à exister, à compter… « Gudde Alle, bumu la takha war mbaam ! », que dis-je (?), « Mar bumula takha naan potit», cher grand-frère.
Aujourd’hui, en rapportant et en mettant sur la place publique des choses que vous avez partagées avec des gens, vous trahissez… Mais comme la trahison est une question de dates, nous vous laissons la vivre sous ses plus grandes et folles amours, tout en vous conseillant de ne pas ignorer que « tout est pardonnable, excepté le mensonge, l’infidélité et la trahison ». Honni soit qui, mal en pense !
Alassane Samba DIALLO, Citoyen sénégalais