Selon la chef de division sécurité-santé à la direction de la Protection sociale Ndiémé Seck cette étude menée dans les centres d’appels a permis de constater qu’il y a «77% de stress chez les téléphonistes et 65% chez les agents d’accueil», a soutenu cette responsable à la direction générale du Travail et de la Sécurité sociale.
«Les facteurs de stress peuvent être endogènes, c’est-à-dire liés à la tâche (charge de travail, pression temporelle, rendement..), ou exogènes, c’est-à-dire liés à la gestion des ressources humaines, à la qualité des relations de travail, etc. », a ajouté Mme Diouf.
Elle intervenait sur le thème «Le stress au travail : un défi collectif», à l’occasion de la journée de l’association des médecins d’entreprise du Sénégal (AMES), dans le cadre du moi africain de la prévention.
«Le stress n’est qu’une manifestation des risques psychosociaux. Il touche près de 28% des salariés européens », « est responsable de 75%de nouvelles consultations » et « la cause de près de 60% des accidents du travail selon l’Institut américain du stress », a-t-elle souligné.
«Au Sénégal, les risques psychosociaux sont devenus un véritable problème de santé publique », a renseigné Ndiémé Seck Diouf, signalant que d’après l’Organisation mondiale de la santé (OMS), « 25% des décès attribués au travail sont liés aux facteurs psychosociaux ».
«Pour lutter contre ce fléau, il faut une connaissance solide des risques et une bonne évaluation de leurs facteurs, ce qui permettra de mettre en place des mesures préventives adaptées », a préconisé le chef de la division sécurité-santé à la direction de la Protection sociale.
«Les facteurs de stress peuvent être endogènes, c’est-à-dire liés à la tâche (charge de travail, pression temporelle, rendement..), ou exogènes, c’est-à-dire liés à la gestion des ressources humaines, à la qualité des relations de travail, etc. », a ajouté Mme Diouf.
Elle intervenait sur le thème «Le stress au travail : un défi collectif», à l’occasion de la journée de l’association des médecins d’entreprise du Sénégal (AMES), dans le cadre du moi africain de la prévention.
«Le stress n’est qu’une manifestation des risques psychosociaux. Il touche près de 28% des salariés européens », « est responsable de 75%de nouvelles consultations » et « la cause de près de 60% des accidents du travail selon l’Institut américain du stress », a-t-elle souligné.
«Au Sénégal, les risques psychosociaux sont devenus un véritable problème de santé publique », a renseigné Ndiémé Seck Diouf, signalant que d’après l’Organisation mondiale de la santé (OMS), « 25% des décès attribués au travail sont liés aux facteurs psychosociaux ».
«Pour lutter contre ce fléau, il faut une connaissance solide des risques et une bonne évaluation de leurs facteurs, ce qui permettra de mettre en place des mesures préventives adaptées », a préconisé le chef de la division sécurité-santé à la direction de la Protection sociale.