L’étude de notre environnement demeure un baromètre important pour maitriser notre évolution.
C’est dans ce cadre que cette étude trouve sa pertinence. «Il est clair que pour faire face à l’évolution actuelle du monde caractérisé par des interdépendances accrues et par des bouleversements de différents ordres, il nous fallait explorer notre environnement interne et externe afin d’en déterminer les caractéristiques saillantes et d’analyser les facteurs clés qui fonderont notre futur» a soutenu la Directrice des stratégies de développement au ministère des finances, Mme Néné Mboup Dieng.
Cette étude a donc montré, dans le rapport des scénarii alternatifs qui permettront d’aider le Gouvernement dans ses prises de décisions, que la première aspiration des Sénégalais est l’alimentation. C’est après que viennent, dans l’ordre, les questions d’ordre sanitaire, par rapport à l’habitat, l’emploi et ensuite l’éducation.
Dans ce même ordre, il a fait savoir que les résultats de l’analyse structurelle, qui a suivi cette investigation, ont permis de déceler les variables clés devant jouer un rôle déterminant dans la construction de notre futur, à savoir la dimension genre, la décentralisation, la politique fiscale, la dégradation des terres arables, le poids religieux dans le fonctionnement de l’Etat et les innovations technologiques.
En définitive les résultats issus de cet atelier devraient permettre au gouvernement de disposer de suffisamment d’élément d’appréciation pour le choix du scénario de référence, qui correspondre mieux aux aspirations de la société sénégalaise, lors d’un conseil interministériel que présidera le premier ministre.
C’est dans ce cadre que cette étude trouve sa pertinence. «Il est clair que pour faire face à l’évolution actuelle du monde caractérisé par des interdépendances accrues et par des bouleversements de différents ordres, il nous fallait explorer notre environnement interne et externe afin d’en déterminer les caractéristiques saillantes et d’analyser les facteurs clés qui fonderont notre futur» a soutenu la Directrice des stratégies de développement au ministère des finances, Mme Néné Mboup Dieng.
Cette étude a donc montré, dans le rapport des scénarii alternatifs qui permettront d’aider le Gouvernement dans ses prises de décisions, que la première aspiration des Sénégalais est l’alimentation. C’est après que viennent, dans l’ordre, les questions d’ordre sanitaire, par rapport à l’habitat, l’emploi et ensuite l’éducation.
Dans ce même ordre, il a fait savoir que les résultats de l’analyse structurelle, qui a suivi cette investigation, ont permis de déceler les variables clés devant jouer un rôle déterminant dans la construction de notre futur, à savoir la dimension genre, la décentralisation, la politique fiscale, la dégradation des terres arables, le poids religieux dans le fonctionnement de l’Etat et les innovations technologiques.
En définitive les résultats issus de cet atelier devraient permettre au gouvernement de disposer de suffisamment d’élément d’appréciation pour le choix du scénario de référence, qui correspondre mieux aux aspirations de la société sénégalaise, lors d’un conseil interministériel que présidera le premier ministre.