Eureuka ! s’était crié Archimède. Il avait trouvé sa fameuse théorie du même nom. La poussée d'Archimède est la force particulière que subit un corps placé entièrement ou partiellement dans un fluide et soumis à un champ de gravité.
Alors, chez nous, n’est-on pas en train de s’éloigner de notre centre de gravité. Le Sénégal est un pays vanté, adulé et cité en exemple pour son équilibre social et religieux.
Depuis quelques jours une funeste polémique alimente les débats et discussions.
A la base, cette fameuse « boutade » du Premier ministre Ousmane, « on n’acceptera plus que certains établissements interdisent le port du voile à l’école » Ces propos de monsieur Sonko ont fait jaillir toutes une littérature orale et écrite.
En tout état de cause, gardons -nous de nous éloigner de notre centre de gravité. Notre pirogue est en plein océan et en cette période de saison des pluies le ciel s’assombrit davantage.
La pluie ! Parlons -en à voix basse. Il y’en a parmi nous qui n’en veulent pas entendre parler. « Zeus, lui-même quand il faisait pleuvoir n’était pas aimé de tout le monde », disaient les Grecs. A Dakar et banlieue, la pluie est devenue une calamité. Dans ces lieux d’inondation, il y en a qui dès le mois de juin ne scrutent plus le ciel de peur de voir des nuages noirs s’agglutiner. Seulement qu’ils comprennent au même moment Diégane et Pathé prient le ciel pour qu’il pleuve. L’un est cultivateur et l’autre un éleveur.
D’où l’intérêt de planter des arbres, de reverdir nos villes et nos campagnes. Mais surtout plantons également des arbres fruitiers, tel que le manguier, choisi arbre de cette journée nationale. Il est bon de disposer des arbres fruitiers mais sachons aussi mettre en valeur ces fruits. En Casamance chaque année des milliers de tonnes de mangues pourrissent faute d’être écoulées.
Alors ! Qu’il pleuve des cordes sur le Sénégal. Que l’hivernage batte son plein. Que l’herbe et les arbres poussent dru.
Alors, chez nous, n’est-on pas en train de s’éloigner de notre centre de gravité. Le Sénégal est un pays vanté, adulé et cité en exemple pour son équilibre social et religieux.
Depuis quelques jours une funeste polémique alimente les débats et discussions.
A la base, cette fameuse « boutade » du Premier ministre Ousmane, « on n’acceptera plus que certains établissements interdisent le port du voile à l’école » Ces propos de monsieur Sonko ont fait jaillir toutes une littérature orale et écrite.
En tout état de cause, gardons -nous de nous éloigner de notre centre de gravité. Notre pirogue est en plein océan et en cette période de saison des pluies le ciel s’assombrit davantage.
La pluie ! Parlons -en à voix basse. Il y’en a parmi nous qui n’en veulent pas entendre parler. « Zeus, lui-même quand il faisait pleuvoir n’était pas aimé de tout le monde », disaient les Grecs. A Dakar et banlieue, la pluie est devenue une calamité. Dans ces lieux d’inondation, il y en a qui dès le mois de juin ne scrutent plus le ciel de peur de voir des nuages noirs s’agglutiner. Seulement qu’ils comprennent au même moment Diégane et Pathé prient le ciel pour qu’il pleuve. L’un est cultivateur et l’autre un éleveur.
D’où l’intérêt de planter des arbres, de reverdir nos villes et nos campagnes. Mais surtout plantons également des arbres fruitiers, tel que le manguier, choisi arbre de cette journée nationale. Il est bon de disposer des arbres fruitiers mais sachons aussi mettre en valeur ces fruits. En Casamance chaque année des milliers de tonnes de mangues pourrissent faute d’être écoulées.
Alors ! Qu’il pleuve des cordes sur le Sénégal. Que l’hivernage batte son plein. Que l’herbe et les arbres poussent dru.