En France, la liste du RN arrive en première position avec 23,2 % des voix, un point devant celle de la majorité LRM à 21,9 %. EELV arrive en troisième position avec 12,8 %, devant Les Républicains, qui plongent avec 8,3 %. La France Insoumise obtient 6,7 %, comme la liste PS-Place Publique. Les autres listes comme Debout la France ou Génération.s n’arrivent pas à 5 %.
La participation atteint 51,3 %. Elle était de 42,43 % en 2014 et est inédite depuis vingt-quatre ans.
En Allemagne, où la participation serait en hausse d’environ 10 points par rapport à 2014, le vote confirme un net recul des conservateurs de la CDU-CSU (28 %) et des sociaux-démocrates du SPD (15,5 %) au pouvoir, au profit des Verts (22 %) et de l’extrême droite (10,5 %).
En Autriche, le parti conservateur du chancelier Sebastian Kurz arrive en tête avec autour de 34,5 %. Les sociaux-démocrates (SPÖ) atteignent 24,1 % et le FPÖ, le parti d’extrême droite touché récemment par le scandale de « l’Ibizagate » est crédité de 17,5.
En Grèce, le gouvernement de Syriza n’arriverait qu’en deuxième place, recueillant autour de 27 % des voix contre 34 % environ pour le centre droit mené par Nouvelle Démocratie.
Aux Pays-Bas, où le vote a eu lieu jeudi, le Parti travailliste gagne avec 18,1 % des voix, devant le Parti populaire pour la liberté et la démocratie (VVD) du premier ministre, Mark Rutte, avec 15 % et le Forum pour la démocratie (FvD), parti europhobe et anti-immigrés (12 %).
La participation atteint 51,3 %. Elle était de 42,43 % en 2014 et est inédite depuis vingt-quatre ans.
En Allemagne, où la participation serait en hausse d’environ 10 points par rapport à 2014, le vote confirme un net recul des conservateurs de la CDU-CSU (28 %) et des sociaux-démocrates du SPD (15,5 %) au pouvoir, au profit des Verts (22 %) et de l’extrême droite (10,5 %).
En Autriche, le parti conservateur du chancelier Sebastian Kurz arrive en tête avec autour de 34,5 %. Les sociaux-démocrates (SPÖ) atteignent 24,1 % et le FPÖ, le parti d’extrême droite touché récemment par le scandale de « l’Ibizagate » est crédité de 17,5.
En Grèce, le gouvernement de Syriza n’arriverait qu’en deuxième place, recueillant autour de 27 % des voix contre 34 % environ pour le centre droit mené par Nouvelle Démocratie.
Aux Pays-Bas, où le vote a eu lieu jeudi, le Parti travailliste gagne avec 18,1 % des voix, devant le Parti populaire pour la liberté et la démocratie (VVD) du premier ministre, Mark Rutte, avec 15 % et le Forum pour la démocratie (FvD), parti europhobe et anti-immigrés (12 %).