Ibrahima Khalil Bourgi dit « Bibo » sera fixé sur son sort aujourd’hui. L’homme d’affaire franco-libanais, présenté comme l’un des acteurs principaux dans l’affaire Karim Wade, saura dès aujourd’hui, s’il pourra se rendre en France pour y poursuivre son traitement ou non. En effet, le rapport de contre-expertise médicale, commandé par Henri Grégoire Diop, président de la Cour de Répression de l’Enrichissement Illicite (CREI) est déjà entre ses mains. Il ne reste désormais au juge qu’à statuer. Deux médecins, un urologue et un cardiologue avait été mandatés pour juger si l’état de santé de Bourgi était aussi préoccupant qu’on le présente. Les blouses blanches ont fini leur travail et l’ont déposé sur la table du juge. La balle est donc dans le camp du magistrat de la CREI et de son équipe pour délivrer ou non une autorisation de sortie du territoire à « l’opéré récent » selon l’ « AS ».
Bourgi souffrirait de problèmes urinaires et cardiaques. Il a subi une opération à l’Hôpital Général de Grand-Yoff (HOGGY). Une opération des suites de laquelle il avait chopé une infection urinaire.
Les avocats de Karim Wade ont récemment pondu un communiqué pour disent-ils que « Nul n’ignore l’Etat de Santé de Bibo Bourgi ». Selon les conseils du fils de l’ancien ministre des infrastructures, ils ne se sont jamais opposés à une évacuation de Bourgi à l’étranger et sont conscients de son état de santé fragile.
Pour rappel, Bibo Bourgi avait été ramené manu-militari le 31 juillet à la barre, lors de l’ouverture du procès Karim Wade, perfusion dans les bras et sur une chaise roulante, à la demande du président de la CREI suite à un mandat d’amener.
Il a par la suite été dispensé d’audience jusqu’à la fin de la bataille sur la procédure. Cependant aujourd’hui, Bourgi sera définitivement fixé sur son sort.
Bourgi souffrirait de problèmes urinaires et cardiaques. Il a subi une opération à l’Hôpital Général de Grand-Yoff (HOGGY). Une opération des suites de laquelle il avait chopé une infection urinaire.
Les avocats de Karim Wade ont récemment pondu un communiqué pour disent-ils que « Nul n’ignore l’Etat de Santé de Bibo Bourgi ». Selon les conseils du fils de l’ancien ministre des infrastructures, ils ne se sont jamais opposés à une évacuation de Bourgi à l’étranger et sont conscients de son état de santé fragile.
Pour rappel, Bibo Bourgi avait été ramené manu-militari le 31 juillet à la barre, lors de l’ouverture du procès Karim Wade, perfusion dans les bras et sur une chaise roulante, à la demande du président de la CREI suite à un mandat d’amener.
Il a par la suite été dispensé d’audience jusqu’à la fin de la bataille sur la procédure. Cependant aujourd’hui, Bourgi sera définitivement fixé sur son sort.