Selon le rapport 2019 de la Banque mondiale sur l’Évaluation des politiques et des institutions en Afrique (Cpia), publié le 12 août dernier, le Sénégal est classé 3ème sur 39 pays avec une moyenne de 3,7. Il est devancé par le Rwanda et le Cap-Vert.
Établi sur une période allant de janvier à décembre, ce rapport jauge la qualité des structures politiques et institutionnelles nationales ainsi que leur capacité à soutenir une croissance durable et à réduire la pauvreté, renseigne nos confrères du quotidien nationale "Le Soleil". Qui, ajoutent que les pays sont notés sur une échelle de 1 (note la plus faible) à 6 (note la plus élevée) pour 16 indicateurs regroupés dans quatre catégories : gestion économique ; politiques structurelles ; politiques d’inclusion sociale et d’équité ; gestion et institutions du secteur public.
L’objectif est de « renseigner les pouvoirs publics sur l’impact des efforts déployés pour soutenir la croissance et lutter contre la pauvreté », précise la Banque mondiale dans son rapport.
L’institution de Bretton Woods ajoute que les notes obtenues servent aussi à « déterminer le volume des prêts concessionnels et des dons qu’elle accorde aux pays à faible revenu d’Afrique subsaharienne ».
Par ailleurs, le rapport Cpia fait l’état des lieux des politiques et des institutions nationales au commencement de la pandémie de la Covid-19 en mettant en évidence la nécessité, pour les pays Ida de la région, à agir pour renforcer leurs systèmes de santé, protéger leur capital humain, améliorer la gouvernance du secteur public et mettre en œuvre des réformes structurelles visant à stimuler la productivité.
Établi sur une période allant de janvier à décembre, ce rapport jauge la qualité des structures politiques et institutionnelles nationales ainsi que leur capacité à soutenir une croissance durable et à réduire la pauvreté, renseigne nos confrères du quotidien nationale "Le Soleil". Qui, ajoutent que les pays sont notés sur une échelle de 1 (note la plus faible) à 6 (note la plus élevée) pour 16 indicateurs regroupés dans quatre catégories : gestion économique ; politiques structurelles ; politiques d’inclusion sociale et d’équité ; gestion et institutions du secteur public.
L’objectif est de « renseigner les pouvoirs publics sur l’impact des efforts déployés pour soutenir la croissance et lutter contre la pauvreté », précise la Banque mondiale dans son rapport.
L’institution de Bretton Woods ajoute que les notes obtenues servent aussi à « déterminer le volume des prêts concessionnels et des dons qu’elle accorde aux pays à faible revenu d’Afrique subsaharienne ».
Par ailleurs, le rapport Cpia fait l’état des lieux des politiques et des institutions nationales au commencement de la pandémie de la Covid-19 en mettant en évidence la nécessité, pour les pays Ida de la région, à agir pour renforcer leurs systèmes de santé, protéger leur capital humain, améliorer la gouvernance du secteur public et mettre en œuvre des réformes structurelles visant à stimuler la productivité.
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