Après avoir rappelé leur position publique exprimée avant le référendum, à travers deux déclarations en date du 25 février et du 17 mars, la Pacte a relevé les points saillants de la consultation, notamment la campagne déguisée du ministre de la jeunesse, l’achat de conscience, la violence dans certaines localités etc.
Pour lutter contre ces actes, Babacar Fall, coordonnateur exécutif du comité de la Pacte a fait savoir que : « la présence d’une personnalité neutre à la tête du ministère de l’intérieur serait une chose nécessaire pour un référendum sans parti pris ».
Poursuivant sur sa lancée, « nous ne pouvons pas
répondre de manière tranchée, mais nous pensons que, quelle que soit la couleur politique du ministre de l’Intérieur en charge des élections, il doit être suffisamment neutre. Comme l’adage l’a dit « on ne peut pas être à la fois juge et parti ». Le coordonnateur de la PACTE rappelle «l’erreur grandiose» d’Abdoulaye Daouda Diallo qui avait fait une publication des résultats, ce qui « ne relève pas de ses compétences », a-t-il déploré.
Sur la question du vote obligatoire soulevé par le député Ablaye Makhtar Diop, Babacar Fall affirme que : «le fait d’aller voter relève de la responsabilité de chaque citoyen. Les partisans politiques doivent retourner à leur rôle respectif, celui de former, d’éduquer et d’éveiller les consciences des citoyens pour les amener à saisir les enjeux. Mais, c’est impensable d’obliger les personnes à aller voter », renseigne-t-il.
Selon lui : « le processus de vote est tellement long et infernal pour un citoyen d’accomplir son devoir civil et politique. Dès lors il faudrait procéder à une simplification des procédures de vote ».
M. Fall a aussi relevé la nécessité de procéder à l’audit du fichier électoral surtout après le tollé soulevé par ce scrutin du 20 mars. Scrutin que l’opposition n’a cessé de décrier.
Pour lutter contre ces actes, Babacar Fall, coordonnateur exécutif du comité de la Pacte a fait savoir que : « la présence d’une personnalité neutre à la tête du ministère de l’intérieur serait une chose nécessaire pour un référendum sans parti pris ».
Poursuivant sur sa lancée, « nous ne pouvons pas
répondre de manière tranchée, mais nous pensons que, quelle que soit la couleur politique du ministre de l’Intérieur en charge des élections, il doit être suffisamment neutre. Comme l’adage l’a dit « on ne peut pas être à la fois juge et parti ». Le coordonnateur de la PACTE rappelle «l’erreur grandiose» d’Abdoulaye Daouda Diallo qui avait fait une publication des résultats, ce qui « ne relève pas de ses compétences », a-t-il déploré.
Sur la question du vote obligatoire soulevé par le député Ablaye Makhtar Diop, Babacar Fall affirme que : «le fait d’aller voter relève de la responsabilité de chaque citoyen. Les partisans politiques doivent retourner à leur rôle respectif, celui de former, d’éduquer et d’éveiller les consciences des citoyens pour les amener à saisir les enjeux. Mais, c’est impensable d’obliger les personnes à aller voter », renseigne-t-il.
Selon lui : « le processus de vote est tellement long et infernal pour un citoyen d’accomplir son devoir civil et politique. Dès lors il faudrait procéder à une simplification des procédures de vote ».
M. Fall a aussi relevé la nécessité de procéder à l’audit du fichier électoral surtout après le tollé soulevé par ce scrutin du 20 mars. Scrutin que l’opposition n’a cessé de décrier.
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