« Qui laisse ses troupes se disperser à la poursuite de l’ennemi cherche à perdre la victoire qu’il a gagné » disait Végèce. « La reconnaissance pour un premier bienfait sert de préface à la demande d’un second. ». 2017c’est pour bientôt, Excellence, Monsieur le Président. Les pensées que je livre à votre conscience et à votre raison s’articuleront sur ces deux maximes car je vous sais très juste et très honnête et peux dire sans risque de me tromper qu’elles seront prises en compte malgré les influences de votre entourage, le silence de nos dirigeants politiques et vos préoccupations quotidiennes. La première maxime a déconcerté nos projets politiques et trompé nos attentes car nous comptions bâtir un parti fort ici en Espagne.
Malheureusement, la léthargie dans la DSE Espagne en est la cause. Aucune rencontre politique, aucune nouvelle, aucun sujet de réflexion, aucune liaison avec nos autorités. Nous sommes trahit, délaissés, nous sommes comme de tristes victimes de moqueurs qui nous ont utilisés pour se faire élire et qui au moment venu, reviendront vers nous pour répéter la même opération de séduction aux prochaines élections. Croyez-moi, Excellence, Monsieur le Président les temps ont changé. Notre désespoir s’agrandit jour pour jour et est égal à l’ardeur qui nous consume en vous sachant sillonner les pays du monde à la rencontre des sénégalais sauf en Espagne, notre pays de résidence. L’Espagne où vous comptez le plus de militants et sympathisants, l’Espagne qui a contribué efficacement à votre rendez-vous au second tour de la présidentielle de 2012 et au choix de votre majorité aux législatives de la même année, en votant et en donnant des consignes de vote aux parents et amis restés aux pays pour votre propre compte.
D’après votre propre sensibilité, votre raison, vous savez si bien juger de vous-même ce qu’il faut aux sénégalais, militants et sympathisants qui se sont battus pour vous porter au pouvoir : la reconnaissance suffirait largement, Excellence. La reconnaissance par le geste ou par la parole : le petit mot « MERCI ». De Bilbao à Almeria, d’Andor à Murcia en passant par Zaragoza, Alicante, Lérida, Sevilla, Madrid, Barcelone, Valencia, les Iles Baléares et Canaries etc…, des entretiens si touchants, des regrets si profonds, des critiques si adroits sur votre politique étrangère ornent les débats autour de questions, de commentaires semant le doute que seule votre intervention et peut-être votre présence pourraient nous rendre notre félicité couronné par le mérite et l’espoir.
Le financement alloué aux femmes et qui tarde à venir, les demandes de coopératives d’habitat pour les femmes, la cacophonie autour d’un protocole de rapatriement de sans-papiers qui a fait couler beaucoup d’encre et de salive, votre absence totale en terre espagnole depuis que vous êtes élu nous poussent à se poser des questions: avons-nous cessé d’exister pour vous ? Méritons-nous un tel traitement après tous les sacrifices consentis pour vous porter au pouvoir ? Ne sommes-nous pas des sénégalais à part entière ? N’avons-nous pas les mêmes droits que ceux qui ont bénéficié de privilèges ? Sans jamais nous affaiblir ou nous décourager, nous continuerons les alertes avant qu’il ne soit trop tard jusqu’à peut-être trouver dans nos abattements quotidiens de nouveaux arguments plausibles pour vous défendre. De nouvelles approches politiques venant de vous-même tempéreront les emportements des uns et des autres.
Il faut que je vous avoue les actes conçus par des adversaires et ennemis à l’égard de votre politique étrangère concernant l’Espagne : on prétend dire que WADE a fait mieux que vous en Espagne. En témoignent les sorties médiatisées d’adversaires politiques et défenseurs de droit humains.Comment pourrons-nous contredire de tels propos si rien n’est encore à votre actif ? C’est vous qui, par votre seule présence en Espagne, saurez communiquer aux sénégalais vos souhaits et projets, vos programmes et actions afin de les rassurer par reconnaissance au premier bienfait qui servira de préface pour leur demander un second soutien en 2017. Personne d’autre n’en serait capable car la profondeur du doute, l’étayage des faits, l’amalgame semé dans les esprits par nos adversaires dépasseront leurs arguments. C’est sur l’exacte connaissance de la situation politico-sociale en Espagne que je vous interpelle.
Ni le Ministre des affaires étrangères, ni aucun autre Ministre, ni le Directeur des sénégalais de l’extérieur, ni l’administratrice du FAISE, ni l’ambassadeur du Sénégal en Espagne, ni le Consul général ne peuvent trancher le débat de ce manque de considération à l’égard des sénégalais d’Espagne, semé dans l’esprit de nos compatriotes qui en font le centre d’intérêt de leurs débats quotidiens dans les marchés, les sièges des associations et les salons de leurs maisons. Excellence, Monsieur le Président, je vous avoue que toutes mes réactions jointes à mon aversion de vous voir aller au second tour ou perdre les élections en 2017 m’inspire d’attirer toujours votre attention à temps par lettre ouverte. Ceci afin que vous puissiez agir au bon moment et avec la manière. Comprenez que je suis toujours rempli d’indignation à chaque fois que nous perdons des points au plan politique. Fidèlement à vous.
Malheureusement, la léthargie dans la DSE Espagne en est la cause. Aucune rencontre politique, aucune nouvelle, aucun sujet de réflexion, aucune liaison avec nos autorités. Nous sommes trahit, délaissés, nous sommes comme de tristes victimes de moqueurs qui nous ont utilisés pour se faire élire et qui au moment venu, reviendront vers nous pour répéter la même opération de séduction aux prochaines élections. Croyez-moi, Excellence, Monsieur le Président les temps ont changé. Notre désespoir s’agrandit jour pour jour et est égal à l’ardeur qui nous consume en vous sachant sillonner les pays du monde à la rencontre des sénégalais sauf en Espagne, notre pays de résidence. L’Espagne où vous comptez le plus de militants et sympathisants, l’Espagne qui a contribué efficacement à votre rendez-vous au second tour de la présidentielle de 2012 et au choix de votre majorité aux législatives de la même année, en votant et en donnant des consignes de vote aux parents et amis restés aux pays pour votre propre compte.
D’après votre propre sensibilité, votre raison, vous savez si bien juger de vous-même ce qu’il faut aux sénégalais, militants et sympathisants qui se sont battus pour vous porter au pouvoir : la reconnaissance suffirait largement, Excellence. La reconnaissance par le geste ou par la parole : le petit mot « MERCI ». De Bilbao à Almeria, d’Andor à Murcia en passant par Zaragoza, Alicante, Lérida, Sevilla, Madrid, Barcelone, Valencia, les Iles Baléares et Canaries etc…, des entretiens si touchants, des regrets si profonds, des critiques si adroits sur votre politique étrangère ornent les débats autour de questions, de commentaires semant le doute que seule votre intervention et peut-être votre présence pourraient nous rendre notre félicité couronné par le mérite et l’espoir.
Le financement alloué aux femmes et qui tarde à venir, les demandes de coopératives d’habitat pour les femmes, la cacophonie autour d’un protocole de rapatriement de sans-papiers qui a fait couler beaucoup d’encre et de salive, votre absence totale en terre espagnole depuis que vous êtes élu nous poussent à se poser des questions: avons-nous cessé d’exister pour vous ? Méritons-nous un tel traitement après tous les sacrifices consentis pour vous porter au pouvoir ? Ne sommes-nous pas des sénégalais à part entière ? N’avons-nous pas les mêmes droits que ceux qui ont bénéficié de privilèges ? Sans jamais nous affaiblir ou nous décourager, nous continuerons les alertes avant qu’il ne soit trop tard jusqu’à peut-être trouver dans nos abattements quotidiens de nouveaux arguments plausibles pour vous défendre. De nouvelles approches politiques venant de vous-même tempéreront les emportements des uns et des autres.
Il faut que je vous avoue les actes conçus par des adversaires et ennemis à l’égard de votre politique étrangère concernant l’Espagne : on prétend dire que WADE a fait mieux que vous en Espagne. En témoignent les sorties médiatisées d’adversaires politiques et défenseurs de droit humains.Comment pourrons-nous contredire de tels propos si rien n’est encore à votre actif ? C’est vous qui, par votre seule présence en Espagne, saurez communiquer aux sénégalais vos souhaits et projets, vos programmes et actions afin de les rassurer par reconnaissance au premier bienfait qui servira de préface pour leur demander un second soutien en 2017. Personne d’autre n’en serait capable car la profondeur du doute, l’étayage des faits, l’amalgame semé dans les esprits par nos adversaires dépasseront leurs arguments. C’est sur l’exacte connaissance de la situation politico-sociale en Espagne que je vous interpelle.
Ni le Ministre des affaires étrangères, ni aucun autre Ministre, ni le Directeur des sénégalais de l’extérieur, ni l’administratrice du FAISE, ni l’ambassadeur du Sénégal en Espagne, ni le Consul général ne peuvent trancher le débat de ce manque de considération à l’égard des sénégalais d’Espagne, semé dans l’esprit de nos compatriotes qui en font le centre d’intérêt de leurs débats quotidiens dans les marchés, les sièges des associations et les salons de leurs maisons. Excellence, Monsieur le Président, je vous avoue que toutes mes réactions jointes à mon aversion de vous voir aller au second tour ou perdre les élections en 2017 m’inspire d’attirer toujours votre attention à temps par lettre ouverte. Ceci afin que vous puissiez agir au bon moment et avec la manière. Comprenez que je suis toujours rempli d’indignation à chaque fois que nous perdons des points au plan politique. Fidèlement à vous.