Le cable sous-marin ACE va rendre les opérateurs beaucoup plus compétitifs entre eux. Au Sénégal, quasiment tous les opérateurs étaient dépendants des infrastructures de la Sonatel qui est l’opérateur historique et qui a très tôt investi dans la fibre optique. “Pour l’instant, nous sommes tributaire des infrastructures de l’opérateur historique (Sonatel). Nous voulions avoir plus d’autonomie, c’est pour cela que nous avons investi dans ce projet”.
Emmanuel Hamez de déclarer: “en investissant dans le cable sous-marin, on a plus de capacité sur Internet qu’on va pouvoir utiliser à bon escient et le mettre à la disposition de nos abonnés surtout dans le cadre des forfaits”.
Le Directeur général d’Expresso Sénégal d’afficher ses ambitions. “Nous voulons être un acteur majeur dans l’accès à Internet dans les smartphones au Sénégal et dans d’autres pays Africains comme le Ghana et en Guinée”. Et d’ajouter: “les infrastructures existantes ne nous permettaient pas encore d’offrir un service à la hauteur des aspirations des africains. Et effectivement en tant qu’investisseur étranger, on a participé à ce projet avec un câble sous-marin qui relie la France à l’Afrique du Sud en passant par le Sénégal et les pays dans lesquels on opère”.
Emmanuel Hamez a souligné: “nous allons faire des forfaits adaptés aux smartphones qui font de la voix, de la donnée, des sms et tout. Pour la partie donnée, il était important qu’on puisse offre un service de qualité avec nos propres infrastructures”.
Et d’insister: “avec ce cable, il y aura plus de qualité, de rapidé et certainement moins cher. Cela sera plus abordable surtout que maintenant presque tous les téléphones portables ont une fonction Internet”.
Emmanuel Hamez de déclarer: “en investissant dans le cable sous-marin, on a plus de capacité sur Internet qu’on va pouvoir utiliser à bon escient et le mettre à la disposition de nos abonnés surtout dans le cadre des forfaits”.
Le Directeur général d’Expresso Sénégal d’afficher ses ambitions. “Nous voulons être un acteur majeur dans l’accès à Internet dans les smartphones au Sénégal et dans d’autres pays Africains comme le Ghana et en Guinée”. Et d’ajouter: “les infrastructures existantes ne nous permettaient pas encore d’offrir un service à la hauteur des aspirations des africains. Et effectivement en tant qu’investisseur étranger, on a participé à ce projet avec un câble sous-marin qui relie la France à l’Afrique du Sud en passant par le Sénégal et les pays dans lesquels on opère”.
Emmanuel Hamez a souligné: “nous allons faire des forfaits adaptés aux smartphones qui font de la voix, de la donnée, des sms et tout. Pour la partie donnée, il était important qu’on puisse offre un service de qualité avec nos propres infrastructures”.
Et d’insister: “avec ce cable, il y aura plus de qualité, de rapidé et certainement moins cher. Cela sera plus abordable surtout que maintenant presque tous les téléphones portables ont une fonction Internet”.