
« Je travaille pour vous Gambiens, si je dois mourir pour vous je le ferais. Je ne vais jamais succomber à la pression humaine, mais si vous le peuple Gambien me suppliez d’arrêter les exécutions, je vais les suspendre parce que tout ce que je fais, je le fais pour votre intérêt. Si vous voulez que la peine de mort soit retirée de la Constitution, elle sera supprimée. Cette série d’exécutions n’a rien à voir avec la politique. Si je dois signer dix mille condamnations à mort pour sauver 1,6 millions de Gambiens, je le ferais », harangue l’homme de la Gambie.
Plus loin, il ajoute : « Si un pays a un citoyen en Gambie et ne veut pas qu’il soit exécuté, qu’il ne laisse pas tuer quelqu’un en territoire Gambien. Je ne suis pas l’esclave de l’Union européenne et je ne serai l’esclave de personne. Je vais mourir pour l’Afrique », a-t-il dit, selon la presse locale.
Plus loin, il ajoute : « Si un pays a un citoyen en Gambie et ne veut pas qu’il soit exécuté, qu’il ne laisse pas tuer quelqu’un en territoire Gambien. Je ne suis pas l’esclave de l’Union européenne et je ne serai l’esclave de personne. Je vais mourir pour l’Afrique », a-t-il dit, selon la presse locale.
Autres articles
-
Dakar recadre Jeune Afrique : une mise en demeure en réponse aux excès
-
Questions écrites au Gouvernement : Ayib Daffé déplore leur publication sur les réseaux sociaux
-
Daaka 2025 : Ousmane Sonko est arrivé à Médina Gounass pour la cérémonie officielle
-
Seydi Gassama : « le fils de Macky Sall n’a rien à craindre s’il est convoqué par la justice »
-
Levée de l'immunité parlementaire de cinq (5) ex-ministres : Ayib Daffé détaille la procédure et plaide pour une réforme du règlement intérieur