«Dans sa cellule de la prison de Rebeuss, à Dakar, Karim Wade est déjà couché quand le colonel de l'administration pénitentiaire, et le directeur de la maison d'arrêt, Lamine Diop, font irruption, vers 22 heures. « Vous serez libéré cette nuit », lui annoncent les deux officiels», relate Jeune Afrique qui revenait sur la libération de prison du fils de Me Abdoulaye Wade dans la nuit du Jeudi 23 juin 2016.
Poursuivant, nos confrères révèlent que ces deux officiels sont revenus plus tard dans sa cellule, accompagnés d’un fonctionnaire du ministère des Affaires étrangères. Et devaient s’en suivre les formalités pour l’obtention d’un passeport diplomatique. Ce qui a conduit une source de Jeune Afrique à dire qu’ «ils ont fait de lui, en une nuit, leur ambassadeur au Qatar».
Effectivement, seules quelques dizaines de minutes ont suffi pour que Karim Wade puisse bénéficier d’un passeport diplomatique.
Poursuivant, nos confrères révèlent que ces deux officiels sont revenus plus tard dans sa cellule, accompagnés d’un fonctionnaire du ministère des Affaires étrangères. Et devaient s’en suivre les formalités pour l’obtention d’un passeport diplomatique. Ce qui a conduit une source de Jeune Afrique à dire qu’ «ils ont fait de lui, en une nuit, leur ambassadeur au Qatar».
Effectivement, seules quelques dizaines de minutes ont suffi pour que Karim Wade puisse bénéficier d’un passeport diplomatique.