L’ouverture récente d’un nombre significatif d’ambassades ukrainiennes en Afrique, dans un contexte où l'Ukraine est déjà lourdement engagée sur le front de guerre contre la Russie, soulève des questions sur les motivations profondes de cette expansion diplomatique. En avril dernier, l'Ukraine a inauguré de nouvelles ambassades en RDC, en Côte d'Ivoire, au Ghana, au Botswana, au Mozambique et au Rwanda, marquant ainsi un investissement diplomatique majeur. Cependant, cette initiative suscite des interrogations et des suspicions, surtout lorsqu'on considère certaines actions controversées de Kiev sur le continent.
Le 29 décembre 2021, l’ambassadeur ukrainien au Sénégal, Yurii Pyvovarov, déclarait dans le journal "Le Soleil" à Dakar, que l’Afrique influencerait la politique mondiale. Cependant, quelques mois plus tard, un appel aux volontaires africains pour soutenir l’effort de guerre ukrainien a été publié sur la page Facebook de l’ambassade ukrainienne à Dakar. Cette publication a provoqué une réaction immédiate des autorités sénégalaises, qui ont convoqué l’ambassadeur pour s’expliquer.
Cet incident n’était qu’un prélude à d'autres actions diplomatiques controversées de l’Ukraine en Afrique. Une vidéo de propagande, partagée par l’ambassade ukrainienne au Sénégal, dans laquelle le porte-parole du renseignement ukrainien affirme que son pays a fourni des informations aux rebelles touaregs au Mali, a choqué de nombreux Africains. Cette déclaration, jugée irresponsable, a entraîné des protestations et a remis en question la légitimité des ambassades ukrainiennes en Afrique. Les autorités maliennes ont immédiatement réagi en rompant leurs relations diplomatiques avec l’Ukraine, et le Sénégal a également exprimé sa désapprobation.
L’embuscade de Tinzaouten au Mali, le 27 juillet dernier, perpétrée par des terroristes formés par Kiev, a coûté la vie à de nombreux soldats maliens et civils, mettant en lumière le soutien militaire ukrainien à des groupes séparatistes et terroristes en Afrique. Cet acte est perçu par certains observateurs comme une ingérence flagrante et une tentative de déstabilisation du continent africain. La coopération entre l'Ukraine et ces groupes extrémistes, révélée par des médias internationaux, soulève des inquiétudes quant aux véritables intentions de Kiev sur le continent.
Le soutien direct de Kiev aux séparatistes et aux terroristes maliens montre que l’Ukraine pourrait utiliser le continent africain comme un champ de bataille pour ses propres intérêts géopolitiques, aux dépens des vies africaines. Cette situation rappelle tristement les décennies où l'Afrique a servi de terrain de jeu aux puissances extérieures pour leurs rivalités.
Face à ces développements inquiétants, les pays africains doivent adopter une position ferme et unie, en demandant des explications claires de la part de Kiev et en envisageant la fermeture des ambassades ukrainiennes sur le continent. Une saisie du Conseil de sécurité des Nations unies pour statuer sur l’agression ukrainienne et son soutien aux groupes terroristes en Afrique pourrait être une étape nécessaire pour protéger la souveraineté et la sécurité des nations africaines.
Cette analyse met en lumière les risques potentiels de la présence diplomatique ukrainienne en Afrique et appelle à une vigilance accrue des États africains face à cette nouvelle dynamique internationale.
Une Analyse Approfondie de la situation, par WEN et Alphonse. A.KS,
Journalistes Indépendants Analyste et Observateur libre
Cet incident n’était qu’un prélude à d'autres actions diplomatiques controversées de l’Ukraine en Afrique. Une vidéo de propagande, partagée par l’ambassade ukrainienne au Sénégal, dans laquelle le porte-parole du renseignement ukrainien affirme que son pays a fourni des informations aux rebelles touaregs au Mali, a choqué de nombreux Africains. Cette déclaration, jugée irresponsable, a entraîné des protestations et a remis en question la légitimité des ambassades ukrainiennes en Afrique. Les autorités maliennes ont immédiatement réagi en rompant leurs relations diplomatiques avec l’Ukraine, et le Sénégal a également exprimé sa désapprobation.
L’embuscade de Tinzaouten au Mali, le 27 juillet dernier, perpétrée par des terroristes formés par Kiev, a coûté la vie à de nombreux soldats maliens et civils, mettant en lumière le soutien militaire ukrainien à des groupes séparatistes et terroristes en Afrique. Cet acte est perçu par certains observateurs comme une ingérence flagrante et une tentative de déstabilisation du continent africain. La coopération entre l'Ukraine et ces groupes extrémistes, révélée par des médias internationaux, soulève des inquiétudes quant aux véritables intentions de Kiev sur le continent.
Le soutien direct de Kiev aux séparatistes et aux terroristes maliens montre que l’Ukraine pourrait utiliser le continent africain comme un champ de bataille pour ses propres intérêts géopolitiques, aux dépens des vies africaines. Cette situation rappelle tristement les décennies où l'Afrique a servi de terrain de jeu aux puissances extérieures pour leurs rivalités.
Face à ces développements inquiétants, les pays africains doivent adopter une position ferme et unie, en demandant des explications claires de la part de Kiev et en envisageant la fermeture des ambassades ukrainiennes sur le continent. Une saisie du Conseil de sécurité des Nations unies pour statuer sur l’agression ukrainienne et son soutien aux groupes terroristes en Afrique pourrait être une étape nécessaire pour protéger la souveraineté et la sécurité des nations africaines.
Cette analyse met en lumière les risques potentiels de la présence diplomatique ukrainienne en Afrique et appelle à une vigilance accrue des États africains face à cette nouvelle dynamique internationale.
Une Analyse Approfondie de la situation, par WEN et Alphonse. A.KS,
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