C’est le Document de programmation budgétaire et économique pluriannuelle (Dpbep) 2024 - 2026, parcouru par Libération, qui donne les chiffres. Les recettes attendues de l’exploitation des projets Gisement Grand tortue ahmeyin (Gta) et Sangomar sont estimées à un montant global de 753,6 milliards F CFA.
Deux sources de revenus majeures sont prévues dans les contrats pétroliers : la part de l’État dans le partage de production après déduction des coûts pétroliers, les impôts et taxes prévus dans le cadre des contrats et accords signés.
Le document indique que le Sénégal est en train de finaliser son schéma directeur du pétrole et du gaz visant à développer l’économie locale et à apporter de la valeur ajoutée en termes de création d’emplois et de développement de nouvelles industries.
Pour Gta, transfrontalier entre le Sénégal et la Mauritanie et réalisé en 2015, les ressources récupérables sont évaluées entre 420 et 560 milliards de mètres cubes de gaz naturel.
Les deux États ont décidé d’exploiter conjointement ce champ dans le cadre d’un accord de coopération prévoyant une répartition initiale de 50% pour chaque pays des ressources extraites, selon le journal.
Qui ajoute que pour l’année 2024, il est respectivement attendu 1,7 millions de m3 de gaz gln et 126 mille m3 de gaz domestique.
Pour ce qui s’agit de l’exploitation du champ de Sangomar, qui permettra de récupérer près de 560 millions de barils de pétrole et 2,4 Tcf de gaz naturel dans le futur, et dont le démarrage de la production est prévu en fin décembre 2023, les projections tablent sur une production de 32 millions de barils de pétrole dès la première année, affirme le Dpbep.
Deux sources de revenus majeures sont prévues dans les contrats pétroliers : la part de l’État dans le partage de production après déduction des coûts pétroliers, les impôts et taxes prévus dans le cadre des contrats et accords signés.
Le document indique que le Sénégal est en train de finaliser son schéma directeur du pétrole et du gaz visant à développer l’économie locale et à apporter de la valeur ajoutée en termes de création d’emplois et de développement de nouvelles industries.
Pour Gta, transfrontalier entre le Sénégal et la Mauritanie et réalisé en 2015, les ressources récupérables sont évaluées entre 420 et 560 milliards de mètres cubes de gaz naturel.
Les deux États ont décidé d’exploiter conjointement ce champ dans le cadre d’un accord de coopération prévoyant une répartition initiale de 50% pour chaque pays des ressources extraites, selon le journal.
Qui ajoute que pour l’année 2024, il est respectivement attendu 1,7 millions de m3 de gaz gln et 126 mille m3 de gaz domestique.
Pour ce qui s’agit de l’exploitation du champ de Sangomar, qui permettra de récupérer près de 560 millions de barils de pétrole et 2,4 Tcf de gaz naturel dans le futur, et dont le démarrage de la production est prévu en fin décembre 2023, les projections tablent sur une production de 32 millions de barils de pétrole dès la première année, affirme le Dpbep.