L'Agence sénégalaise d'études spatiales a lancé hier mardi, le Forum international de l'Union africaine (Ua) - Union européenne (Ue) axé sur le dialogue spatial. Maram Kairé, Dg de l'agence a annoncé le prochain lancement du tout premier satellite du pays, soulignant l'engagement du Sénégal dans l'exploration et l'exploitation des données spatiales.
Selon M. Kairé, « les préparatifs pour le lancement initial, prévu pour 2024, sont en cours avec une estimation visant à concrétiser ce projet dès le premier trimestre de l'année ». Pour le Premier ministre, Amadou Ba, le secteur spatial est important pour le pays et connaît croissante. Ainsi, il a salué la tenue de cette rencontre qui met en évidence les perspectives économiques remarquables qu'elle offre.
Selon L’Observateur, les dernières données indiquent une valeur financière estimée à 424 milliards de dollars pour le secteur spatial en 2022, avec une projection de doublement de cette valeur au cours de la prochaine décennie.
En Afrique, l'industrie spatiale est estimée à 20 milliards de dollars. Pour le coordinateur du programme spatial africain et commission de l'Union Africaine, Dr Tidiane Quattara, en 2023, environ 45 satellites ont été lancés par les Etats africains. Il a déclaré : «Une première mission est de coordonner toutes les activités spatiales du continent parce que les pays ne sont pas au même niveau. Il y a des pays qui sont en arrière, d'autres sont en avance. Il faut s'assurer que tous les pays travaillent ensemble. Deuxième mission, c'est de faire en sorte que l'on puisse créer un cadre réglementaire pour amener les Africains à travailler ensemble. Parce que, faire de l'activité spatiale dès fois, ça frôle avec la sécurité et il y a des pays qui sont réticents».
L'engagement de l'Europe envers l'Afrique dans la réalisation des objectifs communs de transition numérique et environnementale a également été confirmé par Jean-Marc Pisani. Ce dernier a parlé de la coopération à venir pour relever ces défis collectifs.
Selon M. Kairé, « les préparatifs pour le lancement initial, prévu pour 2024, sont en cours avec une estimation visant à concrétiser ce projet dès le premier trimestre de l'année ». Pour le Premier ministre, Amadou Ba, le secteur spatial est important pour le pays et connaît croissante. Ainsi, il a salué la tenue de cette rencontre qui met en évidence les perspectives économiques remarquables qu'elle offre.
Selon L’Observateur, les dernières données indiquent une valeur financière estimée à 424 milliards de dollars pour le secteur spatial en 2022, avec une projection de doublement de cette valeur au cours de la prochaine décennie.
En Afrique, l'industrie spatiale est estimée à 20 milliards de dollars. Pour le coordinateur du programme spatial africain et commission de l'Union Africaine, Dr Tidiane Quattara, en 2023, environ 45 satellites ont été lancés par les Etats africains. Il a déclaré : «Une première mission est de coordonner toutes les activités spatiales du continent parce que les pays ne sont pas au même niveau. Il y a des pays qui sont en arrière, d'autres sont en avance. Il faut s'assurer que tous les pays travaillent ensemble. Deuxième mission, c'est de faire en sorte que l'on puisse créer un cadre réglementaire pour amener les Africains à travailler ensemble. Parce que, faire de l'activité spatiale dès fois, ça frôle avec la sécurité et il y a des pays qui sont réticents».
L'engagement de l'Europe envers l'Afrique dans la réalisation des objectifs communs de transition numérique et environnementale a également été confirmé par Jean-Marc Pisani. Ce dernier a parlé de la coopération à venir pour relever ces défis collectifs.