"Dynamique de paix en Casamance" est sortie de son mutisme pour dénoncer avec force l’attaque de Niambalang. Cette organisation de la société civile appelle l’Etat à décrypter le message que les assaillants de Nyassia cherchent à lui faire parvenir pour envisager sérieusement des solutions à la situation.
« Pourquoi après Boffa, il y a des braquages sur les routes. Il y a Kaguite et hier aussi. Une fois encore, nous invitons le président de la République de porter une attention particulière sur ces actions diversifiées. Pourquoi cela, qu’est ce qui le justifie. Si c’est un message que l’autre partie voudrait lui faire parvenir qu’il le sache », livre Henri Ndéky, la Coordinateur de ladite organisation sur les ondes de la Rfm.
Pour lui, s’attaquer à une infrastructure de désenclavement est une méthode que l’organisation de la société civile ne cautionne pas. Il invite les belligérants à épargner les biens publics, avant d’exiger de l’Etat de prendre les mesures pour sécuriser les populations et les biens. « Et si cela revient, celui qui a la responsabilité de garantir la sécurité des populations doit jouer son rôle, en protégeant sa population, sa communauté », clame-t-il
Selon M. Ndéky, « les assaillants doivent s’attaquer à l’armée et laisser les populations tranquilles. L’Etat protège les populations, et le MFDC dit aussi qu’il travaille pour les populations. Je pense que l’infrastructure comme le pont est un bien public. Une bombe sous un pont, est une nouveauté que nous venons d’entendre».
Le coordinateur de la Dynamique pour la paix appelle les deux parties à renouer le fil du dialogue pour garder les espoirs de paix.
« Pourquoi après Boffa, il y a des braquages sur les routes. Il y a Kaguite et hier aussi. Une fois encore, nous invitons le président de la République de porter une attention particulière sur ces actions diversifiées. Pourquoi cela, qu’est ce qui le justifie. Si c’est un message que l’autre partie voudrait lui faire parvenir qu’il le sache », livre Henri Ndéky, la Coordinateur de ladite organisation sur les ondes de la Rfm.
Pour lui, s’attaquer à une infrastructure de désenclavement est une méthode que l’organisation de la société civile ne cautionne pas. Il invite les belligérants à épargner les biens publics, avant d’exiger de l’Etat de prendre les mesures pour sécuriser les populations et les biens. « Et si cela revient, celui qui a la responsabilité de garantir la sécurité des populations doit jouer son rôle, en protégeant sa population, sa communauté », clame-t-il
Selon M. Ndéky, « les assaillants doivent s’attaquer à l’armée et laisser les populations tranquilles. L’Etat protège les populations, et le MFDC dit aussi qu’il travaille pour les populations. Je pense que l’infrastructure comme le pont est un bien public. Une bombe sous un pont, est une nouveauté que nous venons d’entendre».
Le coordinateur de la Dynamique pour la paix appelle les deux parties à renouer le fil du dialogue pour garder les espoirs de paix.