Les jours se suivent et se ressemblent pour les usagers des transports publics, victimes de l’incurie d’un secteur. Manque de formation des chauffeurs recrutés générale- ment à un très jeune âge, et âge avancé des bus constituent un cocktail meurtrier sur nos routes. Ajoutez à cela l’état défectueux des véhicules et le mauvais état de la chaussée, et l’on voit que toutes les conditions sont réunies pour la poursuite du carnage sur nos routes.
D’ailleurs, l’actualité vient chaque jour rappeler cette triste réalité. 76 personnes ont trouvé la mort et 840 autres ont été grièvement blessées sur le tronçon routier Ndiosmone-Ouyal Sandé (Centre-Ouest), dans la région de Fatick plus précisément. Ce durant la période allant de janvier 2018 à juillet 2019, soit une durée de 19 mois. « En effet le bilan des accidents de la circulation sur un des axes routiers les plus meurtriers de la région, en l’occurrence le tronçon routier national Ndiosmone- Ouyal Sandé, s’est alourdi en début 2019 comparé à toute l’année 2018 », informe un rapport sur les accidents de la circulation dénombrés sur ce tronçon routier de janvier 2018 à juillet 2019.
Les indicateurs dénotent un taux nettement élevé sur la période de janvier à juillet 2019
Les indicateurs du nombre de victimes d’accidents corporels, matériels, de blessures ou encore de morts sont nettement en hausse sur la période de janvier à juillet 2019 par rapport à toute la période de l’année 2018, sur ce tronçon routier. « Sur les cas de victimes dé- cédées, 46 usagers de la route sont décédés entre janvier et juillet 2019 contre 33 décès pour toute l’année sur ce tronçon », indique le rapport.
D’après toujours ce document, au niveau des victimes blessées, il y a 443 blessés enregistrés de janvier à juillet 2019 contre 397 blessés dénombrés durant toute l’année 2018, sur cet axe de la route nationale numéro I. Concernant les accidentés corporels, a encore signalé le document, 165 victimes sont dénombrées de janvier à juillet 2019 contre 126 sur toute l’année 2018 tandis que pour les accidentés mortels, 21 victimes sont enregistrées en début 2019 contre 21 en 2018.
Malgré les contrôles et les rappels à la prudence, la route continue de tuer plus dans la région de Fatick que partout ailleurs dan s notre pays. Les chiffres sont en hausse par rapport à la période allant de janvier 2017 à juillet 2018. Derrière ces morts, des familles brisées.
Le Témoin
D’ailleurs, l’actualité vient chaque jour rappeler cette triste réalité. 76 personnes ont trouvé la mort et 840 autres ont été grièvement blessées sur le tronçon routier Ndiosmone-Ouyal Sandé (Centre-Ouest), dans la région de Fatick plus précisément. Ce durant la période allant de janvier 2018 à juillet 2019, soit une durée de 19 mois. « En effet le bilan des accidents de la circulation sur un des axes routiers les plus meurtriers de la région, en l’occurrence le tronçon routier national Ndiosmone- Ouyal Sandé, s’est alourdi en début 2019 comparé à toute l’année 2018 », informe un rapport sur les accidents de la circulation dénombrés sur ce tronçon routier de janvier 2018 à juillet 2019.
Les indicateurs dénotent un taux nettement élevé sur la période de janvier à juillet 2019
Les indicateurs du nombre de victimes d’accidents corporels, matériels, de blessures ou encore de morts sont nettement en hausse sur la période de janvier à juillet 2019 par rapport à toute la période de l’année 2018, sur ce tronçon routier. « Sur les cas de victimes dé- cédées, 46 usagers de la route sont décédés entre janvier et juillet 2019 contre 33 décès pour toute l’année sur ce tronçon », indique le rapport.
D’après toujours ce document, au niveau des victimes blessées, il y a 443 blessés enregistrés de janvier à juillet 2019 contre 397 blessés dénombrés durant toute l’année 2018, sur cet axe de la route nationale numéro I. Concernant les accidentés corporels, a encore signalé le document, 165 victimes sont dénombrées de janvier à juillet 2019 contre 126 sur toute l’année 2018 tandis que pour les accidentés mortels, 21 victimes sont enregistrées en début 2019 contre 21 en 2018.
Malgré les contrôles et les rappels à la prudence, la route continue de tuer plus dans la région de Fatick que partout ailleurs dan s notre pays. Les chiffres sont en hausse par rapport à la période allant de janvier 2017 à juillet 2018. Derrière ces morts, des familles brisées.
Le Témoin
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