Le chef de l'Etat et protecteur des Arts et des Lettres au Sénégal, Abdoulaye Wade
La capitale sénégalaise vit une ambiance pré-festival. En effet, le Festival Mondial des Arts Nègres (FESMAN) prévu en décembre 2009 se prépare activement. Dakar va être le centre des événements musicaux qui seront animés par de grandes vedettes nationales et internationales. Il est prévu une série de rencontres entre les principaux organes d’orientation et d’organisation du festival. Avec des séances de restitution de travaux et évaluations des pré-colloques et états de préparatifs. Ces rencontres seront l’occasion de rendre un hommage mérité à l’un des Pères fondateurs de la négritude Aimé Césaire, qui peu avant sa mort avait donné son onction au FESNAM pour être le parrain mais aussi au professeur Cheikh Anta Diop et à la maison d’édition Présence Africaine.
Le coordonnateur général du Festival Mondial des Arts Nègres (FESNAM) de revenir sur les rencontres de Dakar. «Ces rencontres consistent à faire le point vers le cap décisif pour un FESNAM d’envergure mondiale. Les intellectuels d’Afrique vont débattre pendant trois jours sur la question de la renaissance Africaine. L’objectif est de montrer au monde une image positive de l’Afrique. À travers le thème scientifique les savants africains vont montrer l’apport de l’Afrique à la construction de l’humanité. Une Afrique avec ses valeureux hommes, berceau de l’humanité», a soutenu Alioune Badara Béye.
Le ministre de la culture et du patrimoine historique classé, Mame Birame Diouf a, pour sa part, indiqué que «le FESNAM est un outil pour l’intégration africaine. Nous devons prendre en compte l’importance de l’Afrique dans la construction de la civilisation universelle».
Avec ce festival qui arrive dans un contexte de crise économique mondiale, Mame Birame Diouf a expliqué que «l’Afrique va dialoguer durant ce festival avec le monde, et il en sortira des solutions de sortie de crises».
Dans cette lancée, le président de la République du Sénégal, Abdoulaye Wade a estimé que «le FESNAM constitue l’arme la meilleure pour faire valoir l’histoire de l’Afrique. Jusqu’ici, c’est une légende malveillante qui est racontée. Nous voulons maintenant que l’histoire soit traitée sur un angle vrai. Les historiens ont le devoir de reprendre les écrits et de montrer au monde que l’Afrique n’était pas absente dans la production artistique, scientifique de l’humanité. Il appartient à nous africains, particulièrement aux historiens, et autres acteurs culturels de montrer aux générations futures, la véracité des faits», a déclaré le protecteur des arts et des lettres de notre pays.
Le 3éme festival mondial des arts nègres se tiendra du 1 au 14 Décembre 2009 à Dakar.
Le coordonnateur général du Festival Mondial des Arts Nègres (FESNAM) de revenir sur les rencontres de Dakar. «Ces rencontres consistent à faire le point vers le cap décisif pour un FESNAM d’envergure mondiale. Les intellectuels d’Afrique vont débattre pendant trois jours sur la question de la renaissance Africaine. L’objectif est de montrer au monde une image positive de l’Afrique. À travers le thème scientifique les savants africains vont montrer l’apport de l’Afrique à la construction de l’humanité. Une Afrique avec ses valeureux hommes, berceau de l’humanité», a soutenu Alioune Badara Béye.
Le ministre de la culture et du patrimoine historique classé, Mame Birame Diouf a, pour sa part, indiqué que «le FESNAM est un outil pour l’intégration africaine. Nous devons prendre en compte l’importance de l’Afrique dans la construction de la civilisation universelle».
Avec ce festival qui arrive dans un contexte de crise économique mondiale, Mame Birame Diouf a expliqué que «l’Afrique va dialoguer durant ce festival avec le monde, et il en sortira des solutions de sortie de crises».
Dans cette lancée, le président de la République du Sénégal, Abdoulaye Wade a estimé que «le FESNAM constitue l’arme la meilleure pour faire valoir l’histoire de l’Afrique. Jusqu’ici, c’est une légende malveillante qui est racontée. Nous voulons maintenant que l’histoire soit traitée sur un angle vrai. Les historiens ont le devoir de reprendre les écrits et de montrer au monde que l’Afrique n’était pas absente dans la production artistique, scientifique de l’humanité. Il appartient à nous africains, particulièrement aux historiens, et autres acteurs culturels de montrer aux générations futures, la véracité des faits», a déclaré le protecteur des arts et des lettres de notre pays.
Le 3éme festival mondial des arts nègres se tiendra du 1 au 14 Décembre 2009 à Dakar.