Président de cette commission, M. Diouf sera secondé dans sa tâche par un secrétaire permanent, Abdoulaye Racine Senghor (directeur des arts) et le philosophe et écrivain Hamidou Dia, coordonnateur des commissions techniques.
M. Dia a indiqué à la presse que la commission est ouverte à ‘’toutes les bonnes volontés dont l’expertise et la compétence sont reconnues’’ pour sélectionner les représentants du Sénégal aux différentes compétitions (musique, danse, peinture, photographie, sculpture, design et artisanat d’art, vêture, coiffure, cinéma et vidéo, théâtre, littérature, architecture), au colloque sur la Renaissance africaine, spectacles et expositions.
‘’Nous ferons en sorte que la vie culturelle de notre pays soit animée, pour que toutes composantes puissent se sentir concernées’’, a ajouté le coordonnateur des commissions techniques interpellé sur la composition de la structure. ’’Nous nous efforcerons de nous entourer de toutes expertises de tous ceux qui se sentiront engagées, l’objectif étant d’avoir la représentation la meilleure de notre pays’’, a-t-il assuré.
‘’La commission nationale aura en charge une lourde tâche : préparer la participation du Sénégal. Une participation de très haut niveau, de très belle facture, à la mesure des enjeux’’, a expliqué le ministre de la Culture au cours de la cérémonie officielle tenue au Théâtre national Daniel Sorano en présence du coordonnateur général du FESMAN et de nombreux artistes.
La structure ainsi installée ‘’fera tout’’ pour que la participation sénégalaise soit ‘’éclatante, grandiose, conformément au génie et à la créativité’’ du Sénégal, ‘’terre de culture et d’hospitalité’’.
‘’Je ne doute pas que la participation de notre pays aura cet éclat et ce faste car nous en avons la volonté et l’expertise, nous avons des femmes et des hommes qui ont porté, ici et dans le monde, très haut le flambeau de l’art et de la culture’’, a souligné Mame Birame Diouf.
Tirant un bilan du travail de la Coordination générale du festival, Alioune Badara Bèye a dit que la structure a organisé des ateliers et des pré-colloques à Dakar, Bamako, au Maroc et dans les régions du Sénégal. M. Bèye a ajouté que des lancements internationaux ont eu lieu en France, en Martinique, au Mali et au Maroc. A ce jour, a ajouté le coordonnateur,156 sites susceptibles d’abriter des manifestations ont été retenus.
Médiatic Events, groupe de communication basé à Dakar, sera chargé de l’organisation technique du Festival mondial des arts nègres. Son directeur, Jean Pierre Pierre-Bloch a assuré que ’’98 % des membres de l’équipe qui va travailler sur le festival viendront de la diaspora africaine’’.
A cette occasion, Médiatic Events va lancer une télévision, ’’Fesman Tv’’, qui sera reprise par 3 réseaux satellites. La télévsion émettre à partir de Dakar le temps du festival, a ajouté M. Pierre-Bloch. Elle diffusera deux journaux d’information d’une heure par jour. Son signal sera donné gratuitement et elle émettre 18 heures par jour, en français, anglais, espagnol, portugais et arabe.
Présentée comme ’’le plus grand rassemblement des arts et de la culture du monde noir’’, la troisième édition du FESMAN III sera axée sur ’’la problématique de la Renaissance africaine’’. Elle sera l’occasion d’’’une remobilisation de la diversité culturelle de l’Afrique et de la diaspora pour le développement durable du continent’’, souligne un document remis aux journalistes.
Il s’agira aussi, ajoute le texte, d’interroger le patrimoine culturel, matériel et immatériel du monde noir, de ’’promouvoir une meilleure protection et une large diffusion des œuvres artistiques et culturelles du monde noir’’, de ’’célébrer l’identité et la créativité intellectuelles, artistiques et littéraires des acteurs d’Afrique et de la diaspora’’.
La première édition a été organisée à Dakar du 1-er au 24 avril 1966, sur le thème : ’’Signification de l’art nègre dans la vie du peuple et pour le peuple’’. Lagos avait accueilli du 15 janvier au 12 février 1977 la deuxième édition du Festival mondial des arts nègres, sur le thème : ‘’Civilisation noire et éducation’’.
M. Dia a indiqué à la presse que la commission est ouverte à ‘’toutes les bonnes volontés dont l’expertise et la compétence sont reconnues’’ pour sélectionner les représentants du Sénégal aux différentes compétitions (musique, danse, peinture, photographie, sculpture, design et artisanat d’art, vêture, coiffure, cinéma et vidéo, théâtre, littérature, architecture), au colloque sur la Renaissance africaine, spectacles et expositions.
‘’Nous ferons en sorte que la vie culturelle de notre pays soit animée, pour que toutes composantes puissent se sentir concernées’’, a ajouté le coordonnateur des commissions techniques interpellé sur la composition de la structure. ’’Nous nous efforcerons de nous entourer de toutes expertises de tous ceux qui se sentiront engagées, l’objectif étant d’avoir la représentation la meilleure de notre pays’’, a-t-il assuré.
‘’La commission nationale aura en charge une lourde tâche : préparer la participation du Sénégal. Une participation de très haut niveau, de très belle facture, à la mesure des enjeux’’, a expliqué le ministre de la Culture au cours de la cérémonie officielle tenue au Théâtre national Daniel Sorano en présence du coordonnateur général du FESMAN et de nombreux artistes.
La structure ainsi installée ‘’fera tout’’ pour que la participation sénégalaise soit ‘’éclatante, grandiose, conformément au génie et à la créativité’’ du Sénégal, ‘’terre de culture et d’hospitalité’’.
‘’Je ne doute pas que la participation de notre pays aura cet éclat et ce faste car nous en avons la volonté et l’expertise, nous avons des femmes et des hommes qui ont porté, ici et dans le monde, très haut le flambeau de l’art et de la culture’’, a souligné Mame Birame Diouf.
Tirant un bilan du travail de la Coordination générale du festival, Alioune Badara Bèye a dit que la structure a organisé des ateliers et des pré-colloques à Dakar, Bamako, au Maroc et dans les régions du Sénégal. M. Bèye a ajouté que des lancements internationaux ont eu lieu en France, en Martinique, au Mali et au Maroc. A ce jour, a ajouté le coordonnateur,156 sites susceptibles d’abriter des manifestations ont été retenus.
Médiatic Events, groupe de communication basé à Dakar, sera chargé de l’organisation technique du Festival mondial des arts nègres. Son directeur, Jean Pierre Pierre-Bloch a assuré que ’’98 % des membres de l’équipe qui va travailler sur le festival viendront de la diaspora africaine’’.
A cette occasion, Médiatic Events va lancer une télévision, ’’Fesman Tv’’, qui sera reprise par 3 réseaux satellites. La télévsion émettre à partir de Dakar le temps du festival, a ajouté M. Pierre-Bloch. Elle diffusera deux journaux d’information d’une heure par jour. Son signal sera donné gratuitement et elle émettre 18 heures par jour, en français, anglais, espagnol, portugais et arabe.
Présentée comme ’’le plus grand rassemblement des arts et de la culture du monde noir’’, la troisième édition du FESMAN III sera axée sur ’’la problématique de la Renaissance africaine’’. Elle sera l’occasion d’’’une remobilisation de la diversité culturelle de l’Afrique et de la diaspora pour le développement durable du continent’’, souligne un document remis aux journalistes.
Il s’agira aussi, ajoute le texte, d’interroger le patrimoine culturel, matériel et immatériel du monde noir, de ’’promouvoir une meilleure protection et une large diffusion des œuvres artistiques et culturelles du monde noir’’, de ’’célébrer l’identité et la créativité intellectuelles, artistiques et littéraires des acteurs d’Afrique et de la diaspora’’.
La première édition a été organisée à Dakar du 1-er au 24 avril 1966, sur le thème : ’’Signification de l’art nègre dans la vie du peuple et pour le peuple’’. Lagos avait accueilli du 15 janvier au 12 février 1977 la deuxième édition du Festival mondial des arts nègres, sur le thème : ‘’Civilisation noire et éducation’’.