Siège du FESPACO à Ouagadougou au Burkina Faso (photo: fasozine.com)
Le lancement de cette édition de la maturité du FESPACO a été donné par le Premier ministre Tertius Zongo pour qui le festival à cet âge a beaucoup contribué à faire connaître le Burkina Faso. «Le plus grand défi que nous avons dans ce monde globalisé, c’est d’exister. Il faut exister par quelque chose. Et le Burkina Faso existe par la culture et par le cinéma», a, souligné Tertius Zongo.
De ce fait, selon lui, il est important de repenser certains aspects du FESPACO, de relancer le cinéma, d’amener les cinéastes aux réalités actuelles et faire en sorte que le festival promeuve le cinéma. «C’est parce qu’il y a le cinéma qu’il y a le FESPACO». Il dit que le gouvernement travaille à trouver une initiative pour soutenir la culture, et le cinéma en particulier.
Dans cette lancée, le Burkina a les encouragements des partenaires de la culture. «L’UNESCO appuie l’engagement du Burkina Faso à promouvoir la culture à travers les grandes manifestations comme le FESPACO, le SIAO, le SITHO, le FITMO», a soutenu Noureni Tidjiani Serpos, représentant du directeur général de l’UNESCO.
L’invité d’honneur du FESPACO 2009 Cheick Modibo Diarra, directeur Afrique de Microsoft, lui, salue les efforts du gouvernement à pérenniser cet évènement culturel, aujourd’hui panafricain, international.
Le ministre de la Culture, du Tourisme et de la Communication, Filippe Savadogo salue les 40 ans du festival, 40 ans au cours desquels «le FESPACO a accompagné les hommes et les femmes du cinéma, de la télévision et de la vidéo en leur offrant des espaces d’échanges et de promotion inégalés».
Le Marché international du cinéma et de l’audiovisuel (MICA) ouvert également ce matin en est un exemple. Le MICA, un marché créé en 1983 pour promouvoir le cinéma.
Selon Filippe Savadogo, les préoccupations de l’heure liées au thème de la présente édition sont relatives au rôle que doit jouer le cinéaste africain dans la préservation de la diversité des expressions culturelles du continent, et pour une meilleure promotion des valeurs africaines ; le patrimoine culturel étant une source inépuisable d’inspiration pour la cinématographie de demain.
Les FESPACO, à 40 ans, rend hommage à ce chantre cinéma africain et père fondateur du festival Sembène Ousmane. A l’ouverture de cette 21e édition, une rue a été baptisée en son à Ouagadougou.
De ce fait, selon lui, il est important de repenser certains aspects du FESPACO, de relancer le cinéma, d’amener les cinéastes aux réalités actuelles et faire en sorte que le festival promeuve le cinéma. «C’est parce qu’il y a le cinéma qu’il y a le FESPACO». Il dit que le gouvernement travaille à trouver une initiative pour soutenir la culture, et le cinéma en particulier.
Dans cette lancée, le Burkina a les encouragements des partenaires de la culture. «L’UNESCO appuie l’engagement du Burkina Faso à promouvoir la culture à travers les grandes manifestations comme le FESPACO, le SIAO, le SITHO, le FITMO», a soutenu Noureni Tidjiani Serpos, représentant du directeur général de l’UNESCO.
L’invité d’honneur du FESPACO 2009 Cheick Modibo Diarra, directeur Afrique de Microsoft, lui, salue les efforts du gouvernement à pérenniser cet évènement culturel, aujourd’hui panafricain, international.
Le ministre de la Culture, du Tourisme et de la Communication, Filippe Savadogo salue les 40 ans du festival, 40 ans au cours desquels «le FESPACO a accompagné les hommes et les femmes du cinéma, de la télévision et de la vidéo en leur offrant des espaces d’échanges et de promotion inégalés».
Le Marché international du cinéma et de l’audiovisuel (MICA) ouvert également ce matin en est un exemple. Le MICA, un marché créé en 1983 pour promouvoir le cinéma.
Selon Filippe Savadogo, les préoccupations de l’heure liées au thème de la présente édition sont relatives au rôle que doit jouer le cinéaste africain dans la préservation de la diversité des expressions culturelles du continent, et pour une meilleure promotion des valeurs africaines ; le patrimoine culturel étant une source inépuisable d’inspiration pour la cinématographie de demain.
Les FESPACO, à 40 ans, rend hommage à ce chantre cinéma africain et père fondateur du festival Sembène Ousmane. A l’ouverture de cette 21e édition, une rue a été baptisée en son à Ouagadougou.
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