La Fédération Internationale des Journalistes (FIJ) et la Fédération Européenne des Journalistes (FEJ) ont demandé au gouvernement de transition en République centrafricaine et aux forces internationales basées dans le pays de ne ménager aucun effort pour arrêter les meurtriers de la journaliste française Camille Lepage.
Selon plusieurs informations relayées par les médias, la photojournaliste française de renom Camille Lepage, âgée de 26 ans, se trouvait en voyage près de la frontière entre la République centrafricaine et le Cameroun au moment où elle a été prise dans les combats. Son corps a été retrouvé par une patrouille de soldats français dans une voiture conduite par des membres de la milice anti-balaka, dans la région de Bouar, selon les médias.
Le travail de Camille Lepage dans la couverture des conflits en République centrafricaine et au Sud Soudan a été publié dans les grands médias dont la BBC, le New York Times, le Monde et l’AFP. Elle a également travaillé pour plusieurs organisations non gouvernementales dont Amnesty International et Médecins sans Frontières.
Les affiliés de la FIJ et de la FEJ en France, le Syndicat National des Journalistes et l’Union Syndicale des Journalistes ont présenté leurs condoléances à la famille de Camille Lepage et à ses collègues. Ils ont également relevé son engagement professionnel sans faille pour que les faits soient montrés au public.
“Nous sommes profondément attristés et affligés par cette perte tragique de Camille Lepage, une jeune journaliste hautement respectée. Nous présentons nos sincères condoléances à ses collègues et à tous ceux qui lui sont chers”, a déclaré Jim Boumelha, le président de la FIJ.
“Nous demandons au gouvernement de transition en République centrafricaine, aux forces françaises et internationales basées dans le pays, de prendre immédiatement toutes les dispositions nécessaires pour retrouver les auteurs de cet horrible acte afin de les faire juger et condamner”.
La mort de Camille Lepage intervient dans un contexte où la sécurité est de plus en plus précaire en République centrafricaine. La semaine dernière, la FIJ avait condamné la mort des suites de leurs blessures, de deux journalistes locaux, Désiré Sayenga et René Padou. Ils étaient victimes d’une attaque de jeunes armés le 29 avril dernier.
Cet incident tragique intervient six mois après l’assassinat de deux journalistes français tués au Mali. La journaliste Ghislaine Dupont et son collègue Claude Verlon, ingénieur de son, étaient en reportage pour un programme spécial de Radio France Internationale ( RFI) peu avant les élections quand ils ont été enlevés et tués le 2 novembre 2013 à Kidal, la ville du nord du pays.
La FIJ et la FEJ ont réitéré leur appel aux autorités du pays pour renforcer la protection des journalistes. Elles ont également demandé aux journalistes sur le terrain de rester vigilants tout en assurant leur sécurité personnelle.
Selon plusieurs informations relayées par les médias, la photojournaliste française de renom Camille Lepage, âgée de 26 ans, se trouvait en voyage près de la frontière entre la République centrafricaine et le Cameroun au moment où elle a été prise dans les combats. Son corps a été retrouvé par une patrouille de soldats français dans une voiture conduite par des membres de la milice anti-balaka, dans la région de Bouar, selon les médias.
Le travail de Camille Lepage dans la couverture des conflits en République centrafricaine et au Sud Soudan a été publié dans les grands médias dont la BBC, le New York Times, le Monde et l’AFP. Elle a également travaillé pour plusieurs organisations non gouvernementales dont Amnesty International et Médecins sans Frontières.
Les affiliés de la FIJ et de la FEJ en France, le Syndicat National des Journalistes et l’Union Syndicale des Journalistes ont présenté leurs condoléances à la famille de Camille Lepage et à ses collègues. Ils ont également relevé son engagement professionnel sans faille pour que les faits soient montrés au public.
“Nous sommes profondément attristés et affligés par cette perte tragique de Camille Lepage, une jeune journaliste hautement respectée. Nous présentons nos sincères condoléances à ses collègues et à tous ceux qui lui sont chers”, a déclaré Jim Boumelha, le président de la FIJ.
“Nous demandons au gouvernement de transition en République centrafricaine, aux forces françaises et internationales basées dans le pays, de prendre immédiatement toutes les dispositions nécessaires pour retrouver les auteurs de cet horrible acte afin de les faire juger et condamner”.
La mort de Camille Lepage intervient dans un contexte où la sécurité est de plus en plus précaire en République centrafricaine. La semaine dernière, la FIJ avait condamné la mort des suites de leurs blessures, de deux journalistes locaux, Désiré Sayenga et René Padou. Ils étaient victimes d’une attaque de jeunes armés le 29 avril dernier.
Cet incident tragique intervient six mois après l’assassinat de deux journalistes français tués au Mali. La journaliste Ghislaine Dupont et son collègue Claude Verlon, ingénieur de son, étaient en reportage pour un programme spécial de Radio France Internationale ( RFI) peu avant les élections quand ils ont été enlevés et tués le 2 novembre 2013 à Kidal, la ville du nord du pays.
La FIJ et la FEJ ont réitéré leur appel aux autorités du pays pour renforcer la protection des journalistes. Elles ont également demandé aux journalistes sur le terrain de rester vigilants tout en assurant leur sécurité personnelle.
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