Le Front pour une Révolution Anti-impérialiste Populaire et Panafricaine (FRAPP FRANCE DEGAGE) s'est réjoui, à travers un communiqué; de la libération par la justice de Abdou Karim Xrum Xax, qui était incarcéré pour « incitation à l’insurrection », « injures publiques », alors qu’il faisait un « live Facebook » sur la place de l’indépendance de Dakar au lendemain de la déclaration du Premier ministre "annonçant avant la Commission nationale de recensement des votes et le Conseil constitutionnel" les résultats de l'élection présidentielle.
Dans le texte, le FRAPP dénonce cette arrestation, qui selon lui, "piétine les droits démocratiques à l’expression des citoyens. Pour le FRAPP". Ledit Front a également dénoncé la violence verbale du policier sénégalais qui a procédé à l’arrestation de Karim. "Ce policier a dit en l’arrêtant : « arrête ton live ou je t’humilie ». La police n’est pas là pour humilier les citoyens sénégalais. Le FRAPP dénonce en outre la violence gratuite avec laquelle notre camarade Karim a été menotté", peut-on lire dans le document.
Le FRAPP poursuit en interpellant l’Etat sénégalais. "Lors d’une rencontre avec le préfet de Dakar, il y a un an, celui-ci avait menacé le mouvement Nittu Dëgg et mis en garde le FRAPP dans ses relations avec Nittu Dëgg. Le FRAPP déclare que tout coup porté à Nittu Dëgg par l’Etat du Sénégal sera considéré comme un coup porté à FRANCE DEGAGE. Le FRAPP prend l’opinion nationale à témoin", dit-on dans le texte..
Le Comité national de coordination du FRAPP a enfin tenu à dénoncer une immixtion de l’Etat français dans l’arrestation de Karim Xrum Xax. "Pendant son live, deux Français observaient Karim. L’un d’eux utilisera son téléphone et quelques minutes après le policier sénégalais arrivera. Après avoir pris le téléphone de Karim et sa carte d’identité, le policier sénégalais ira à plusieurs reprises consulter le Français. A la question « qui sont ces gens ? », le policier sénégalais répondra : « ce sont des stagiaires français ». Le FRAPP met en garde l’Etat français : nous n’accepterons plus que des représentants de l’Etat français interviennent dans les contradictions entre l’Etat sénégalais et son peuple, entre l’Etat sénégalais et les membres du FRAPP. Macron n’a qu’à s’occuper de régler les revendications des gilets jaunes", dit-il.
Dans le texte, le FRAPP dénonce cette arrestation, qui selon lui, "piétine les droits démocratiques à l’expression des citoyens. Pour le FRAPP". Ledit Front a également dénoncé la violence verbale du policier sénégalais qui a procédé à l’arrestation de Karim. "Ce policier a dit en l’arrêtant : « arrête ton live ou je t’humilie ». La police n’est pas là pour humilier les citoyens sénégalais. Le FRAPP dénonce en outre la violence gratuite avec laquelle notre camarade Karim a été menotté", peut-on lire dans le document.
Le FRAPP poursuit en interpellant l’Etat sénégalais. "Lors d’une rencontre avec le préfet de Dakar, il y a un an, celui-ci avait menacé le mouvement Nittu Dëgg et mis en garde le FRAPP dans ses relations avec Nittu Dëgg. Le FRAPP déclare que tout coup porté à Nittu Dëgg par l’Etat du Sénégal sera considéré comme un coup porté à FRANCE DEGAGE. Le FRAPP prend l’opinion nationale à témoin", dit-on dans le texte..
Le Comité national de coordination du FRAPP a enfin tenu à dénoncer une immixtion de l’Etat français dans l’arrestation de Karim Xrum Xax. "Pendant son live, deux Français observaient Karim. L’un d’eux utilisera son téléphone et quelques minutes après le policier sénégalais arrivera. Après avoir pris le téléphone de Karim et sa carte d’identité, le policier sénégalais ira à plusieurs reprises consulter le Français. A la question « qui sont ces gens ? », le policier sénégalais répondra : « ce sont des stagiaires français ». Le FRAPP met en garde l’Etat français : nous n’accepterons plus que des représentants de l’Etat français interviennent dans les contradictions entre l’Etat sénégalais et son peuple, entre l’Etat sénégalais et les membres du FRAPP. Macron n’a qu’à s’occuper de régler les revendications des gilets jaunes", dit-il.