L’équipe du Comité national de gestion de lute (Cng) alors dirigé par le Dr Alioune Sarr avait sorti une circulaire instruisant les promoteurs de ne pas organiser des séances de "Face to Face" sur des combats qui ne sont pas régularisés au niveau du Cng. Luc Nicolaï a apparemment dérogé à cette règle. Conséquence, il a été convoqué par le Cng, hier lundi, ainsi que les managers des deux lutteurs, Biram Gningue et Abdou Bakhoum, après l’organisation du lancement du combat royal, renseigne le journal "Les Echos".
Le patron de Luc Nicolaï and Co a répondu à la convocation et a reconnu les faits devant le bureau du Cng en réunion lundi.
Selon "Les Echos", Luc Nicolai a présenté ses excuses et a promis de ne pas récidiver. C’est-à-dire tant que le combat n’est pas régularisé, le promoteur n’aura pas le droit d’organiser des séances de "Face to Face" sans l’autorisation du Cng.
Abdou Bakhoum manager d'Ama Baldé s'est également s’est présenté au Cng. Pour sa part, Biram Gningue n’a pas déféré à la convocation. Les managers étant les voix des lutteurs et les interlocuteurs au niveau du Cng, ils ont une part de responsabilité dans cette affaire.
Le président du Cng, Bira Sène a fait la genèse de cette affaire. « Mardi dernier, il y a eu un face à face qui a été organisé dans une télé de la place, ce qui a occasionné un grand attroupement. Les gens sont sortis sur la voie publique. Il y a même eu des jets de lacrymogènes. On a dérangé des citoyens qui se reposaient. Tout ça sans l’autorisation préalable du Cng », a avancé Bira Sène
Qui ajoute : « nos règlements disent que pour organiser un face à face, il faut d’abord régulariser le combat et passer par le Cng pour une autorisation. Suite à cela, nous envoyons une délégation pour la supervision. Il s’est avéré que le Cng n’a pas été saisi. Comme c’est le Cng qui gère la lutte, tout acteur de la lutte doit nous aviser avant de dérouler son programme afin d’avoir une autorisation ».
« Ce faisant, on a constaté des manquements et les auteurs ont été convoqués et entendus. C’est dans un bon climat d’entente, franchement, qu’on s’est entendu sur des principes », affirme le président du Cng.
Le patron de Luc Nicolaï and Co a répondu à la convocation et a reconnu les faits devant le bureau du Cng en réunion lundi.
Selon "Les Echos", Luc Nicolai a présenté ses excuses et a promis de ne pas récidiver. C’est-à-dire tant que le combat n’est pas régularisé, le promoteur n’aura pas le droit d’organiser des séances de "Face to Face" sans l’autorisation du Cng.
Abdou Bakhoum manager d'Ama Baldé s'est également s’est présenté au Cng. Pour sa part, Biram Gningue n’a pas déféré à la convocation. Les managers étant les voix des lutteurs et les interlocuteurs au niveau du Cng, ils ont une part de responsabilité dans cette affaire.
Le président du Cng, Bira Sène a fait la genèse de cette affaire. « Mardi dernier, il y a eu un face à face qui a été organisé dans une télé de la place, ce qui a occasionné un grand attroupement. Les gens sont sortis sur la voie publique. Il y a même eu des jets de lacrymogènes. On a dérangé des citoyens qui se reposaient. Tout ça sans l’autorisation préalable du Cng », a avancé Bira Sène
Qui ajoute : « nos règlements disent que pour organiser un face à face, il faut d’abord régulariser le combat et passer par le Cng pour une autorisation. Suite à cela, nous envoyons une délégation pour la supervision. Il s’est avéré que le Cng n’a pas été saisi. Comme c’est le Cng qui gère la lutte, tout acteur de la lutte doit nous aviser avant de dérouler son programme afin d’avoir une autorisation ».
« Ce faisant, on a constaté des manquements et les auteurs ont été convoqués et entendus. C’est dans un bon climat d’entente, franchement, qu’on s’est entendu sur des principes », affirme le président du Cng.