Ces derniers jours la polémique s’enflamme autour des 100 jours du Président Diomaye Sonko, à la tête du pays. Entre critiques, mécontentements, désillusions, ou simple ignorance, les langues se lient et se délient à ce sujet. Politiciens, sociétés civile ou citoyens lambda, tous s’y affairent.
Comme pour faire taire cette polémique et rassurer les sénégalais, le Président de la République du Sénégal, Bassirou Diomaye Faye a pris l’initiative d’accorder un face à face samedi 13 juillet 2024, à Dakar à des médias nationaux.
« Après trois mois d'exercice j'ai jugé opportun de parler aux Sénégalais, en invitant la presse nationale », a déclaré la Président Diomaye. Poursuivant : « Cet exercice est plus une volonté de redevabilité plutôt qu'un souhait de tirer un bilan », a -t-il estimé.
Le Président qui a soulevé quelques points concernant les attentes de la population est également revenus sur les réalisations faites par l’Etat depuis leur accession au pouvoir.
Le chef de l’Etat a réitéré sa promesse électorale concernant la renégociation des contrats déjà signés par l’ancien régime avec des partenaires étrangers. « Je vous le dis ici, il y aura renégociation des contrats portant sur les ressources naturelles », a affirmé Diomaye, tout en rappelant : « Bien avant même ma prise de fonction, il fallait engager des actions urgentes pour stabiliser la fourniture en hydrocarbures, bloquer la signature de certains contrats qui impacteraient nos finances publiques», a dit le Président de la République du Sénégal .
« Nous sommes passés par un exercice de réallocation des ressources financières entre les besoins prioritaires et ceux moins prioritaires, pour pouvoir réduire les denrées de consommation courante », a fait savoir Diomaye.
Pour ce qui concerne les différents rapports publiés et où des responsables ont été épinglés, Bassirou Diomaye a déclaré : « Je n'ai pas un coude à mettre sur les rapports, car les conclusions qui y seront tirées seront appliquées. Toutefois je m'interdis tout esprit de vengeance ».
Au sujet des Impôts, le président de la République y est allé sans langue de bois : « Tant que je serai à la tête de ce pays, deux choses resteront des priorités à savoir contribuer à l'effort collectif en payant ses impôts tout en s'assurant que ces impôts aillent aux populations, tel que la loi le prévoit », a déclaré le chef de l’Etat.
Comme pour faire taire cette polémique et rassurer les sénégalais, le Président de la République du Sénégal, Bassirou Diomaye Faye a pris l’initiative d’accorder un face à face samedi 13 juillet 2024, à Dakar à des médias nationaux.
« Après trois mois d'exercice j'ai jugé opportun de parler aux Sénégalais, en invitant la presse nationale », a déclaré la Président Diomaye. Poursuivant : « Cet exercice est plus une volonté de redevabilité plutôt qu'un souhait de tirer un bilan », a -t-il estimé.
Le Président qui a soulevé quelques points concernant les attentes de la population est également revenus sur les réalisations faites par l’Etat depuis leur accession au pouvoir.
Le chef de l’Etat a réitéré sa promesse électorale concernant la renégociation des contrats déjà signés par l’ancien régime avec des partenaires étrangers. « Je vous le dis ici, il y aura renégociation des contrats portant sur les ressources naturelles », a affirmé Diomaye, tout en rappelant : « Bien avant même ma prise de fonction, il fallait engager des actions urgentes pour stabiliser la fourniture en hydrocarbures, bloquer la signature de certains contrats qui impacteraient nos finances publiques», a dit le Président de la République du Sénégal .
« Nous sommes passés par un exercice de réallocation des ressources financières entre les besoins prioritaires et ceux moins prioritaires, pour pouvoir réduire les denrées de consommation courante », a fait savoir Diomaye.
Pour ce qui concerne les différents rapports publiés et où des responsables ont été épinglés, Bassirou Diomaye a déclaré : « Je n'ai pas un coude à mettre sur les rapports, car les conclusions qui y seront tirées seront appliquées. Toutefois je m'interdis tout esprit de vengeance ».
Au sujet des Impôts, le président de la République y est allé sans langue de bois : « Tant que je serai à la tête de ce pays, deux choses resteront des priorités à savoir contribuer à l'effort collectif en payant ses impôts tout en s'assurant que ces impôts aillent aux populations, tel que la loi le prévoit », a déclaré le chef de l’Etat.