Facebook et sa messagerie Messenger ne fonctionnaient plus ce lundi 4 octobre en fin d'après-midi. C'est également le cas d'Instagram et WhatsApp, deux applications qui appartiennent à Facebook. La firme dirigée par Mark Zuckerberg avait indiqué sur Twitter en fin de journée qu'elle s'efforcer "de rétablir la situation aussi rapidement que possible".
D'après Downdetector, qui répertorie les signalements des utilisateurs, la panne de Facebook et des autres réseaux sociaux s'est déclarée peu après 17h.
Dans un communiqué, Facebook a expliqué que l'origine de cette panne n'était pas due à un piratage mais à un "changement de configuration défectueux" au niveau du réseau permettant à ses serveurs de communiquer entre eux. Ce problème a "aussi affecté beaucoup des outils internes et des systèmes que nous utilisons", ce qui a compliqué "les tentatives pour diagnostiquer rapidement et résoudre le problème", a ajouté le groupe.
Ainsi le New York Times rapporte que les employés ne parvenaient pas à accéder aux bureaux, car leurs badges ne fonctionnaient plus. La plupart des salariés se sont tournés vers d'autres service de messagerie, Outlook ou Zoom, pour continuer à travailler.
Facebook affirme par ailleurs qu'aucun élément ne permet de penser "que des données d'utilisateurs n'aient été compromises" lors de cet incident qui a duré près de sept heures.
Cette panne tombe au pire moment pour l'entreprise puisque le groupe est en pleine polémique après les révélations d'une ancienne employée. Cette ingénieure a prouvé, avec documents internes à l'appui, que le réseau social était au courant des dégâts que provoquait son utilisation, sur la santé mentale. Le cours de l'action du groupe a chuté de 6% ce lundi 4 octobre, rapporte Business Insider.
D'après Downdetector, qui répertorie les signalements des utilisateurs, la panne de Facebook et des autres réseaux sociaux s'est déclarée peu après 17h.
Dans un communiqué, Facebook a expliqué que l'origine de cette panne n'était pas due à un piratage mais à un "changement de configuration défectueux" au niveau du réseau permettant à ses serveurs de communiquer entre eux. Ce problème a "aussi affecté beaucoup des outils internes et des systèmes que nous utilisons", ce qui a compliqué "les tentatives pour diagnostiquer rapidement et résoudre le problème", a ajouté le groupe.
Ainsi le New York Times rapporte que les employés ne parvenaient pas à accéder aux bureaux, car leurs badges ne fonctionnaient plus. La plupart des salariés se sont tournés vers d'autres service de messagerie, Outlook ou Zoom, pour continuer à travailler.
Facebook affirme par ailleurs qu'aucun élément ne permet de penser "que des données d'utilisateurs n'aient été compromises" lors de cet incident qui a duré près de sept heures.
Cette panne tombe au pire moment pour l'entreprise puisque le groupe est en pleine polémique après les révélations d'une ancienne employée. Cette ingénieure a prouvé, avec documents internes à l'appui, que le réseau social était au courant des dégâts que provoquait son utilisation, sur la santé mentale. Le cours de l'action du groupe a chuté de 6% ce lundi 4 octobre, rapporte Business Insider.