Le faible taux de dépistage des femmes enceintes au Sénégal est du aux hommes, ils constituent le seul obstacle en à croire la Directrice exécutive de l’alliance nationale contre le sida (ANCS) Mme Maguette Mbodj Guéye . Cette situation s’explique selon elle" au fait que les hommes ne sont pas bien informés ou ne savent pas les bénéfices qui découlent de cela".
Dans cette même lancée, la secrétaire exécutive de l’alliance africaine des femmes face au sida (SWAA), Mme Rokya Nguér a souligné que" le faible taux de dépistage des femmes enceintes est dû au refus du mari au de la belle famille qui montrent une certaine réticence". C’est ce qui explique l'élaboration d' une nouvelle stratégie à savoir le conseil et dépistage volontaire (CDV) des couples.
En effet selon cette dernière, une des leçons apprises de la mise en œuvre des activités de la promotion de la composante Prévention de la Transmission Mère-Enfant (PTME) au niveau communautaire est que beaucoup de femmes enceintes sensibilisées acceptent de faire le dépistage du VIH mais changent souvent d’avis lorsqu’elles partagent l’information, avec leur conjoint ou au sein de la famille. Elles rencontrent aussi des difficultés dans leur ménage, suite au dépistage du VIH.
Pourtant, un recherche sur l’impact des CDV de couple montre qu’approximativement 60% des nouveaux cas de VIH sont transmis par des époux en Afrique et que les couples représentent le groupe avec le plus grand risque d’infection au VIH/SIDA.
La journée va ainsi permettre de présenter le concept et de partager avec les acteurs de la réforme les avantages. Ce sera aussi une occasion de plaidoyer sur le conseil de dépistage volontaire du VIH chez les couples car selon les acteurs de la réforme, le CDV des couples est la seule méthode prouvée efficace dans la réduction du VIH et autre ISTs parmi les couples africains constituant le plus grand groupe à risque au monde.
Dans cette même lancée, la secrétaire exécutive de l’alliance africaine des femmes face au sida (SWAA), Mme Rokya Nguér a souligné que" le faible taux de dépistage des femmes enceintes est dû au refus du mari au de la belle famille qui montrent une certaine réticence". C’est ce qui explique l'élaboration d' une nouvelle stratégie à savoir le conseil et dépistage volontaire (CDV) des couples.
En effet selon cette dernière, une des leçons apprises de la mise en œuvre des activités de la promotion de la composante Prévention de la Transmission Mère-Enfant (PTME) au niveau communautaire est que beaucoup de femmes enceintes sensibilisées acceptent de faire le dépistage du VIH mais changent souvent d’avis lorsqu’elles partagent l’information, avec leur conjoint ou au sein de la famille. Elles rencontrent aussi des difficultés dans leur ménage, suite au dépistage du VIH.
Pourtant, un recherche sur l’impact des CDV de couple montre qu’approximativement 60% des nouveaux cas de VIH sont transmis par des époux en Afrique et que les couples représentent le groupe avec le plus grand risque d’infection au VIH/SIDA.
La journée va ainsi permettre de présenter le concept et de partager avec les acteurs de la réforme les avantages. Ce sera aussi une occasion de plaidoyer sur le conseil de dépistage volontaire du VIH chez les couples car selon les acteurs de la réforme, le CDV des couples est la seule méthode prouvée efficace dans la réduction du VIH et autre ISTs parmi les couples africains constituant le plus grand groupe à risque au monde.