La pluie a encore causé des victimes hier dans le village de Diaolé situé à environ 50 Kms au Nord Est dans la région de Fatick. Une mère de famille ainsi perdu trois de ses enfants, deux jumeaux et un bébé de trois mois, décédés des suites de l’ effondrement de la maison familiale qui ne pouvait guère résister à la charge des vents et des précipitations causées par l’abondance des tornades ces temps-ci dans la région de Fatick. Cinq maisons se sont aussi effondrées.Joint au téléphone, le préfet Mamadou Mactar Diop a aussi fait état de quatre maisons entièrement endommagée dont les anciens occupants sont présentement internés à l’école 3 de la commune
Abdoulaye Ndiaye, président du conseil rural que nous avons joint au téléphone, a relevé la série de malheurs qui s’est abattue sur la pauvre maman. Elle avait perdu son mari quatre mois auparavant, ensuite sa fille aînée. Le président du conseil rural a par ailleurs dénoncé la négligence dont les autorités étatiques ont toujours fait montre pour la prévention de ce genre de calamités.
Déjà en 2009 raconte-t-il, Diaolé était pour la première fois confronté au problème des inondations. Malgré l’ampleur des dégâts matériels et les lourdes pertes en vivres que cela a occasionné, les autorités gouvernementales de l’époque n’avaient jamais mis les pieds dans ce village pour soulager les populations dans le désarroi, ou leur apporter un quelconque soutien ou assistance. Depuis, le village de Diaolé, à chaque année est coupé du reste du monde. Les équipes de Caritas Sénégal et de la Croix rouge ont été les premières à s’y rendre.
Après le choc qui a plongé tout le village dans la tristesse et la consternation, elles sont restées pendant de longues heures au près des populations. Malgré les efforts fournis ça et là par ces mêmes partenaires, le conseil rural de Diaolé par la voix de son président sollicite une assistance d’urgence pour les blessés et les multiples autres personnes menacées de déguerpissement forcé.
Avec Sudonline
Abdoulaye Ndiaye, président du conseil rural que nous avons joint au téléphone, a relevé la série de malheurs qui s’est abattue sur la pauvre maman. Elle avait perdu son mari quatre mois auparavant, ensuite sa fille aînée. Le président du conseil rural a par ailleurs dénoncé la négligence dont les autorités étatiques ont toujours fait montre pour la prévention de ce genre de calamités.
Déjà en 2009 raconte-t-il, Diaolé était pour la première fois confronté au problème des inondations. Malgré l’ampleur des dégâts matériels et les lourdes pertes en vivres que cela a occasionné, les autorités gouvernementales de l’époque n’avaient jamais mis les pieds dans ce village pour soulager les populations dans le désarroi, ou leur apporter un quelconque soutien ou assistance. Depuis, le village de Diaolé, à chaque année est coupé du reste du monde. Les équipes de Caritas Sénégal et de la Croix rouge ont été les premières à s’y rendre.
Après le choc qui a plongé tout le village dans la tristesse et la consternation, elles sont restées pendant de longues heures au près des populations. Malgré les efforts fournis ça et là par ces mêmes partenaires, le conseil rural de Diaolé par la voix de son président sollicite une assistance d’urgence pour les blessés et les multiples autres personnes menacées de déguerpissement forcé.
Avec Sudonline