A Fatick, le personnel sanitaire réclame plus de sécurité. Il fait face souvent à des agressions. Les malfaiteurs prennent pour cible les femmes qui représentent 75% du personnel.
« Suite au cambriolage du poste de Santé de Boyar, dans la nuit du 1er au 2 mai, un malfaiteur encagoulé armé d’un gourdin et d’un couteau, s’est introduit dans le logement de l’infirmier chef de poste l’agressant sauvagement ainsi que sont assistante. Nous soulignons que ces faits sont devenus récurant dans le district Sanitaire de Diofior », dénonce Cheikh Sidaty Sarr leur porte-parole.
Face à ce climat d’insécurité qui met en péril leur vie, les membres du Syndicat unique des travailleurs de la Santé et de l’Action sociale (Sutsas), sous-section de Diofior dénoncent avec la dernière énergie ces actes indignes et exigent que justice soit faite avec le renforcement des agents de sécurité de Santé. « Nous soulignons que 75% des postes de santé sont gérés par des femmes. Et la situation financière des comités de développement sanitaire ne leur permet pas de payer des gardiens dignes de ce nom.
Toutefois, la sous-section de Diofior prend l’Etat pour responsable, et les situations qui pourront en découler, livre Walf radio.
« Suite au cambriolage du poste de Santé de Boyar, dans la nuit du 1er au 2 mai, un malfaiteur encagoulé armé d’un gourdin et d’un couteau, s’est introduit dans le logement de l’infirmier chef de poste l’agressant sauvagement ainsi que sont assistante. Nous soulignons que ces faits sont devenus récurant dans le district Sanitaire de Diofior », dénonce Cheikh Sidaty Sarr leur porte-parole.
Face à ce climat d’insécurité qui met en péril leur vie, les membres du Syndicat unique des travailleurs de la Santé et de l’Action sociale (Sutsas), sous-section de Diofior dénoncent avec la dernière énergie ces actes indignes et exigent que justice soit faite avec le renforcement des agents de sécurité de Santé. « Nous soulignons que 75% des postes de santé sont gérés par des femmes. Et la situation financière des comités de développement sanitaire ne leur permet pas de payer des gardiens dignes de ce nom.
Toutefois, la sous-section de Diofior prend l’Etat pour responsable, et les situations qui pourront en découler, livre Walf radio.