Selon le lieutenant-colonel, « toutes les actions entreprises en faveur des écosystèmes de mangrove confortent l’Etat du Sénégal dans sa politique de gestion intégrée des zones marines et côtières et militent pour la multiplication et la pérennisation des Aires marines protégées qui abritent aujourd’hui, plus de 152 000 ha de mangrove ».
Le directeur adjoint qui a tenu ces propos à l’ouverture du 1er Festival Mangal de Toubacouta sur le thème : « Vivons la mangrove », a également relevé l’extension du réseau en vue de mieux « conserver ces milieux à la fois riches et fragiles et d’engendrer des retombées socioéconomiques au profit les communautés riveraines ». Selon lui, « La mangrove fournit d’importantes ressources fortement sollicitées par les populations riveraines ».
Abdoulaye Aziz Ndiaye soutient qu’une estimation économique de la contribution des mangroves du Delta du Saloum au développement local montre que celle-ci pourrait atteindre 964 milliards de francs CFA sur une période de 10 ans.
Mis en place depuis 2012, le Sénégal dispose actuellement de 15 marines protégées et de deux réserves naturelles contre cinq en 2012.
Le directeur adjoint qui a tenu ces propos à l’ouverture du 1er Festival Mangal de Toubacouta sur le thème : « Vivons la mangrove », a également relevé l’extension du réseau en vue de mieux « conserver ces milieux à la fois riches et fragiles et d’engendrer des retombées socioéconomiques au profit les communautés riveraines ». Selon lui, « La mangrove fournit d’importantes ressources fortement sollicitées par les populations riveraines ».
Abdoulaye Aziz Ndiaye soutient qu’une estimation économique de la contribution des mangroves du Delta du Saloum au développement local montre que celle-ci pourrait atteindre 964 milliards de francs CFA sur une période de 10 ans.
Mis en place depuis 2012, le Sénégal dispose actuellement de 15 marines protégées et de deux réserves naturelles contre cinq en 2012.