La frontière entre la Gambie et le Sénégal est fermée depuis le 23 mars 2020, en raison de la pandémie de la covid19. A cause de cette fermeture, les usagés de l’axe Dakar-Ziguinchor éprouvent une énorme difficulté, car le passage en Gambie, petit pays à l’intérieur du Sénégal, rendrait le voyage plus facile. Désormais, pour aller à Ziguinchor, les chauffeurs de bus surtout, sont de passer par Tamba, une ville à l’Est du Sénégal. Ce contournement constitue un véritable parcours de combattant pour les voyageurs et les chauffeurs rencontrés au garage Bignona à Grand Yoff.
« Le contournement est trop difficile. Cela, nous retarde encore. C’est pourquoi les clients avant d’arriver à destination, c’est le KO. Moi, je ne vois pas quelle insécurité il y a entre Manda Douane Vélingara. Vous quittez là-bas à 7 heures du matin avant d’arriver à Ziguinchor, il fait déjà 17 heures. Si les gens passées par la Gambie, avec le point 08 h voir 09h; on est déjà à Ziguinchor », déclare un voyageur trouvé à la gare à Grand Yoff.
Cette gare est un carrefour pour bon nombre de voyageurs en partance pour la, Gambie, la Guinée ou au Sud du Sénégal. Salif Sonko, alias « Zale », habite Ziguinchor au quartier Néma 2, exprime sa souffrance. « Nous vivons des moments difficiles avec ce contournement. Les clients enfin de compte, utilisent toute leur petite économie en cours de route. Et bien notre souhait, c’est d’ouvrir les frontières pour nous faciliter la tâche. À vrai dire, c’est cela notre problème ».
Il faut noter que ce ne sont pas seulement les voyageurs qui souffrent de ce contournement. Les chauffeurs de bus, à l’image de Lamine Sané, qui Dakar- Ziguinchor- Dakar ne dira pas le contraire. « Nous souffrons. Le contournement jusqu'à Tambacounda n’arrange personne. Économiquement, nous ne pouvons pas faire payer aux clients un prix cher. Surtout dans le contexte actuel avec la pandémie de Covid-19. Nous ne pouvons pas arriver à l’heure voulue. Au moment ou le bateau, commence à circuler, les autorités et de la Gambie et du Sénégal doivent aussi pensez aux chauffeurs pour ouvrir les frontières. Ce qui nous aidera ».
Pour Omar Sonko, rencontré au tableau horaire de Dianki, le parcours Dakar Bignona est très loin. Parce qu’on rencontre tout le temps des difficultés. Les hommes de tenues nous retardent. Si les autorités peuvent nous aider et avec ceux de la Gambie, cela nous arrange beaucoup. Il est plus facile pour nous de passer par la traversée de la Gambie. Si nous quittons ici le soir, on passe la nuit au carrefour Diaroumé. Et de là-bas pour se rendre sur Ziguinchor avec un bon véhicule, c’est moins d’une heure de temps ».
La demande pour la réouverture des frontières Sénégal Gambie est de plus en plus forte. En plus des enseignants qui l’avaient formulé à la veille des examens, le défenseur des droits humains, Seydi Gassama a aussi fait le plaidoyer.
« Le Sénégal et la Gambie doivent ouvrir leurs frontières à Kër Ayib et à Sénoba pour soulager la souffrance des voyageurs en provenance et à destination de Casamance. Toutes les formalités, y compris le péage, peuvent être effectuées à la frontière pour permettre aux véhicules sénégalais de parcourir le couloir gambien, long d’une trentaine de kilomètres, sans stationner » peut-on lire sur son post.
« Le contournement est trop difficile. Cela, nous retarde encore. C’est pourquoi les clients avant d’arriver à destination, c’est le KO. Moi, je ne vois pas quelle insécurité il y a entre Manda Douane Vélingara. Vous quittez là-bas à 7 heures du matin avant d’arriver à Ziguinchor, il fait déjà 17 heures. Si les gens passées par la Gambie, avec le point 08 h voir 09h; on est déjà à Ziguinchor », déclare un voyageur trouvé à la gare à Grand Yoff.
Cette gare est un carrefour pour bon nombre de voyageurs en partance pour la, Gambie, la Guinée ou au Sud du Sénégal. Salif Sonko, alias « Zale », habite Ziguinchor au quartier Néma 2, exprime sa souffrance. « Nous vivons des moments difficiles avec ce contournement. Les clients enfin de compte, utilisent toute leur petite économie en cours de route. Et bien notre souhait, c’est d’ouvrir les frontières pour nous faciliter la tâche. À vrai dire, c’est cela notre problème ».
Il faut noter que ce ne sont pas seulement les voyageurs qui souffrent de ce contournement. Les chauffeurs de bus, à l’image de Lamine Sané, qui Dakar- Ziguinchor- Dakar ne dira pas le contraire. « Nous souffrons. Le contournement jusqu'à Tambacounda n’arrange personne. Économiquement, nous ne pouvons pas faire payer aux clients un prix cher. Surtout dans le contexte actuel avec la pandémie de Covid-19. Nous ne pouvons pas arriver à l’heure voulue. Au moment ou le bateau, commence à circuler, les autorités et de la Gambie et du Sénégal doivent aussi pensez aux chauffeurs pour ouvrir les frontières. Ce qui nous aidera ».
Pour Omar Sonko, rencontré au tableau horaire de Dianki, le parcours Dakar Bignona est très loin. Parce qu’on rencontre tout le temps des difficultés. Les hommes de tenues nous retardent. Si les autorités peuvent nous aider et avec ceux de la Gambie, cela nous arrange beaucoup. Il est plus facile pour nous de passer par la traversée de la Gambie. Si nous quittons ici le soir, on passe la nuit au carrefour Diaroumé. Et de là-bas pour se rendre sur Ziguinchor avec un bon véhicule, c’est moins d’une heure de temps ».
La demande pour la réouverture des frontières Sénégal Gambie est de plus en plus forte. En plus des enseignants qui l’avaient formulé à la veille des examens, le défenseur des droits humains, Seydi Gassama a aussi fait le plaidoyer.
« Le Sénégal et la Gambie doivent ouvrir leurs frontières à Kër Ayib et à Sénoba pour soulager la souffrance des voyageurs en provenance et à destination de Casamance. Toutes les formalités, y compris le péage, peuvent être effectuées à la frontière pour permettre aux véhicules sénégalais de parcourir le couloir gambien, long d’une trentaine de kilomètres, sans stationner » peut-on lire sur son post.