Le SUDES-ESR, section UCAD a exprimé sa profonde « inquiétude et son indignation grandissante face aux atermoiements du Conseil d'administration concernant le lancement de l'appel à candidatures pour le poste de recteur conformément au décret 2021-846 du 24 juin 2021 ».
Dans un communiqué datant de ce jeudi, 04 juillet 2024, le Bureau du SUDES-ESR section UCAD révèle que le Conseil d'Administration de l 'UCAD a lors de sa dernière réunion en lieu et place de lancer l'appel à candidatures décidé de « commettre un conseiller juridique qui serait celui de l'actuel recteur de l'UCAD pour faire le constat que ce dernier aurait entamé tacitement depuis juillet 2023 un supposé second mandat qui devrait courir jusqu'en 2026 ».
Le SUDES-ESR, section UCAD dénonce avec la plus grande fermeté cette attitude « dangereuse et inquiétante du Conseil de l'Administration de l'UCAD qui de ce fait se rend complice d'une arnaque juridique sur fond de manipulations et d'élucubrations intellectuelles, et d'un dilatoire dont le seul objectif est de maintenir l'actuel recteur illégalement et illégitimement à son poste, alors que son mandat arrive à échéance le 22 juillet 2024 ».
Le syndicat s’indigne des « atermoiements du Conseil d'administration concernant le lancement de l'appel à candidatures pour le poste de recteur », dénonce en même temps une « carence en référence aux articles 2 et 3 du décret 2021-846 relatif aux modalités de nomination du Recteur dans les Universités publiques du 24 juin 2021 ».
Selon le document, « Ces articles disposent : « Quatre-vingt-dix (90) jours avant le terme du mandat, du Recteur en fonction ou, au plus tard, trente (30) jours après la fin de son mandat pour une raison autre que la fin légale du mandat, un comité de sélection des candidatures pour la nomination d'un nouveau Recteur est mis en place » (Art. 2) et « L'appel à candidatures est élaboré par le Conseil d'administration de l’université » (Art. 3).
Face à ces manquements, le Sudes interpelle le ministre Abdourahmane Diouf à qui il demande de « sortir de son silence assourdissant » afin de constater « la carence du président du Conseil d’Administration » et attend du ministre qu’il donne instruction aux instances compétentes pour lancer un appel à candidatures.
Toutefois, lit-on sur le communiqué, « le Sudes prévoit de « contester vigoureusement la légitimité du recteur, si jamais il est maintenu après le 22 juillet et compte engager la lutte pour que les textes soient respectés . Rappelant que le choix de tous les recteurs des universités publiques s’est fait par un appel à candidatures, conformément au décret de 2021.
Dans un communiqué datant de ce jeudi, 04 juillet 2024, le Bureau du SUDES-ESR section UCAD révèle que le Conseil d'Administration de l 'UCAD a lors de sa dernière réunion en lieu et place de lancer l'appel à candidatures décidé de « commettre un conseiller juridique qui serait celui de l'actuel recteur de l'UCAD pour faire le constat que ce dernier aurait entamé tacitement depuis juillet 2023 un supposé second mandat qui devrait courir jusqu'en 2026 ».
Le SUDES-ESR, section UCAD dénonce avec la plus grande fermeté cette attitude « dangereuse et inquiétante du Conseil de l'Administration de l'UCAD qui de ce fait se rend complice d'une arnaque juridique sur fond de manipulations et d'élucubrations intellectuelles, et d'un dilatoire dont le seul objectif est de maintenir l'actuel recteur illégalement et illégitimement à son poste, alors que son mandat arrive à échéance le 22 juillet 2024 ».
Le syndicat s’indigne des « atermoiements du Conseil d'administration concernant le lancement de l'appel à candidatures pour le poste de recteur », dénonce en même temps une « carence en référence aux articles 2 et 3 du décret 2021-846 relatif aux modalités de nomination du Recteur dans les Universités publiques du 24 juin 2021 ».
Selon le document, « Ces articles disposent : « Quatre-vingt-dix (90) jours avant le terme du mandat, du Recteur en fonction ou, au plus tard, trente (30) jours après la fin de son mandat pour une raison autre que la fin légale du mandat, un comité de sélection des candidatures pour la nomination d'un nouveau Recteur est mis en place » (Art. 2) et « L'appel à candidatures est élaboré par le Conseil d'administration de l’université » (Art. 3).
Face à ces manquements, le Sudes interpelle le ministre Abdourahmane Diouf à qui il demande de « sortir de son silence assourdissant » afin de constater « la carence du président du Conseil d’Administration » et attend du ministre qu’il donne instruction aux instances compétentes pour lancer un appel à candidatures.
Toutefois, lit-on sur le communiqué, « le Sudes prévoit de « contester vigoureusement la légitimité du recteur, si jamais il est maintenu après le 22 juillet et compte engager la lutte pour que les textes soient respectés . Rappelant que le choix de tous les recteurs des universités publiques s’est fait par un appel à candidatures, conformément au décret de 2021.
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