En grève de la faim depuis une semaine, les 25 personnes arrêtées suite au massacre de Boffa Bayotte ont finalement mis fin à leur diète hier, mardi. Cette décision fait suite à une médiation de bonnes volontés, a appris le journal L'As des familles des détenus.
Celles-ci renseignent que des assurances leur ont été données et elles pensent que cette fois-ci, une diligence sera faite pour l'ouverture d'un procès. Les grévistes de la faim avaient commencé à montrer des signes de faiblesse. Car sept d'entre eux ont été admis en soins intensifs.
Parmi eux, le journaliste René Capain Bassène, présenté comme le cerveau présumé du carnage qui a coûté la vie à 14 exploitants forestiers dans la forêt du Bayotte-Est en 2018.
Celles-ci renseignent que des assurances leur ont été données et elles pensent que cette fois-ci, une diligence sera faite pour l'ouverture d'un procès. Les grévistes de la faim avaient commencé à montrer des signes de faiblesse. Car sept d'entre eux ont été admis en soins intensifs.
Parmi eux, le journaliste René Capain Bassène, présenté comme le cerveau présumé du carnage qui a coûté la vie à 14 exploitants forestiers dans la forêt du Bayotte-Est en 2018.