Honneur aux anciens, Gianluigi Buffon est titulaire en équipe d'Italie depuis dix ans, depuis le Mondial 2002. Avec la « Nazionale », il a tout connu : la Coupe du monde en 2006, mais aussi l'élimination au premier tour du Mondial 2010, comme avec la Juve, son club depuis onze ans. Il est resté malgré la descente en Serie B, s'est montré patient quand les blessures l'ont tenu éloigné des terrains il y a deux ans, pour finalement triompher cette saison dans le Championnat italien. Impliqué dans des affaires de matches truqués et finalement mis hors de cause, il ne s'embarrasse pas de ces problèmes et concentre toute son énergie sur le terrain.
Dans ses seize mètres, il fait la loi, harangue sans cesse ses défenseurs et encourage ses attaquants à l'autre bout du terrain. Le bouillant italien ne relâche jamais la pression.
Super Luigi contre San Iker
Ce dimanche soir, Buffon aura face à lui un loup plus si jeune, de trois ans seulement son cadet, Iker Casillas. «Je voulais lui ressembler», dit d'ailleurs l'Espagnol, qui a préféré s'inspirer du geste sûr de l'Italien plutôt que de ses gesticulations. Car San Iker, lui, est serein, hermétique à la pression. Une véritable bête de compétition, pilier de la Roja et du Real Madrid, au palmarès plus qu'éloquent : une Coupe du monde, un Euro, deux Ligues des champions, cinq Championnats d'Espagne et une Coupe du Roi. Respecté dans tout le pays, même en Catalogne, Casillas n'a craqué qu'une seule fois lors de cette Euro, avec un unique but encaissé... contre l'Italie. En 2008, en quart de finale, il avait arrêté deux tirs au but italiens pour mener les siens vers la victoire (0-0, 4 t.a.b. à 2).
Sur le papier, Casillas, comme son équipe d'ailleurs, partent avec une longueur d'avance. Mais les Italiens ont montré qu'ils pouvaient renverser des montagnes, et leur rage de vaincre, incarnée par l'impétueux Buffon, pourrait surprendre des Espagnols timides.
Source Francefootball.fr
Dans ses seize mètres, il fait la loi, harangue sans cesse ses défenseurs et encourage ses attaquants à l'autre bout du terrain. Le bouillant italien ne relâche jamais la pression.
Super Luigi contre San Iker
Ce dimanche soir, Buffon aura face à lui un loup plus si jeune, de trois ans seulement son cadet, Iker Casillas. «Je voulais lui ressembler», dit d'ailleurs l'Espagnol, qui a préféré s'inspirer du geste sûr de l'Italien plutôt que de ses gesticulations. Car San Iker, lui, est serein, hermétique à la pression. Une véritable bête de compétition, pilier de la Roja et du Real Madrid, au palmarès plus qu'éloquent : une Coupe du monde, un Euro, deux Ligues des champions, cinq Championnats d'Espagne et une Coupe du Roi. Respecté dans tout le pays, même en Catalogne, Casillas n'a craqué qu'une seule fois lors de cette Euro, avec un unique but encaissé... contre l'Italie. En 2008, en quart de finale, il avait arrêté deux tirs au but italiens pour mener les siens vers la victoire (0-0, 4 t.a.b. à 2).
Sur le papier, Casillas, comme son équipe d'ailleurs, partent avec une longueur d'avance. Mais les Italiens ont montré qu'ils pouvaient renverser des montagnes, et leur rage de vaincre, incarnée par l'impétueux Buffon, pourrait surprendre des Espagnols timides.
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