Finies les auditions initiées par le label Jolof for life dans le cadre du tournoi dénommé hip-hop discover. Le dernier round se joue ce samedi à la place de l’obélisque. Sur trois mille groupes auditionnés, seuls dix ont réussi les tests. Ainsi, B-crew et Balavada de Pikine, Net net de Fass, Seven Shot de Thiaroye, fight 4 right de Diamaguene, empirou deumeu yii de Golf , darkness de Rufisque, Djamal de la Médina, force one des Parcelles et black sadik de Keur Mbaye Fall tenteront leur chance ce 9 octobre. La banlieue a le plus de candidats dans ce tournoi, même si celui ci concerne toute la région de Dakar. « Il n’y a pas de secrets, seul le travail paie et ce sont le jeunes de la banlieue qui travaillent », explique Simon porteur de ce projet et par ailleurs manager du label Jolof for life.
Le tri n’est pas fini, trois seulement seront sélectionnés au finish. Jolof for life les sortira de l’underground avec la production d’un album. Le label leur assure et la distribution et la promotion. De quoi donner le meilleur de soi le 9 au soir. Pour ce, la finale ne sera pas des plus aisée. Beaucoup d’entre eux, même s’ils sont dans l’underground, restent les leaders dans leurs quartiers.
Par ailleurs le jury aura du pain sur la planche. Ce jury composite évalue les candidats sous différents angles: sur la technique et le flow, les rimes et la qualité des textes, le comportement scénique.
Ce projet devait coûter à la base 17 millions. Faute de sponsors, Simon n’a même pas pu rassembler la moitié du budget prévisionnel. Une vraie chaîne de solidarité s’est tissée entre frères rappeurs. Les groupes ont acceptés de venir jouer gratuitement afin d’attirer le public. Ce qui a rendu possible la viabilité de ce projet.
Le tri n’est pas fini, trois seulement seront sélectionnés au finish. Jolof for life les sortira de l’underground avec la production d’un album. Le label leur assure et la distribution et la promotion. De quoi donner le meilleur de soi le 9 au soir. Pour ce, la finale ne sera pas des plus aisée. Beaucoup d’entre eux, même s’ils sont dans l’underground, restent les leaders dans leurs quartiers.
Par ailleurs le jury aura du pain sur la planche. Ce jury composite évalue les candidats sous différents angles: sur la technique et le flow, les rimes et la qualité des textes, le comportement scénique.
Ce projet devait coûter à la base 17 millions. Faute de sponsors, Simon n’a même pas pu rassembler la moitié du budget prévisionnel. Une vraie chaîne de solidarité s’est tissée entre frères rappeurs. Les groupes ont acceptés de venir jouer gratuitement afin d’attirer le public. Ce qui a rendu possible la viabilité de ce projet.