Le coût total pour une mise en œuvre effective des options de limitation des émissions de gaz à effet de serre et de la capacité d’adaptation aux effets de changements climatiques dus aux émissions passées s’élèverait à 12.500 milliards de F CFA à l’horizon 2035. C’est ce qu’a fait savoir Felix Bikpo le Directeur Général d'African Guarantee Fund, à l’occasion de la Conférence sur le financement de la croissance verte en Afrique. Une cinquième du genre, après celles du Lusaka (en Zambie), de Nairobi (au Kenya), d’Accra (au Ghana) et d’Abidjan (en Côte d’Ivoire). Cette Conférence internationale tenue, ce mardi à Dakar porte sur le thème : « Promouvoir la Finance verte pour une croissance durable en Afrique ».
« La raison d’être de la conférence d’aujourd’hui, mardi 3 décembre 2019, est de savoir comment financer cette transition vers une économie moins dépendante des énergies fossiles et plus résiliente face aux effets des changements climatiques. Le développement des PME/PMI demeure un des leviers majeurs pour relever le défi de la croissance de nos Etats. Elles constituent en effet plus de 98 % des entreprises et 2/3 des emplois dans les pays développés », a indiqué Felix A. Bikpo.
Pour lui, l’implication du secteur privé financier dans cette transition vers un monde sobre en carbone et résiliente face aux effets des changements climatiques parait inévitable. Parlant du Sénégal, il ajoute : « Notre objectif à l’horizon 2035 est de permettre au secteur financier privé de contribuer à la réduction d’au moins 1 % du gap de financement vert ».
Angèle Luh Chef du Bureau de l’ONU Environnement a elle précisé, qu’il s’agit de voir comment est-ce que de manière intégrée prendre en compte toutes les questions qui touchent à l’environnement, toutes les questions sociales et à l’environnement économique.
« Très souvent, les projets, ou les financements se sont faits sans forcément prendre en compte les aspects d’environnement et les aspects sociaux. Maintenant, il s’agit de prendre en compte la dimension et le risque environnemental et social, tout en prenant en compte les opportunités dans le domaine de l’économie circulaire du changement climatique de l’économie verte, et de l’économie bleu », a souligné Mme Angèle Luh.
« La raison d’être de la conférence d’aujourd’hui, mardi 3 décembre 2019, est de savoir comment financer cette transition vers une économie moins dépendante des énergies fossiles et plus résiliente face aux effets des changements climatiques. Le développement des PME/PMI demeure un des leviers majeurs pour relever le défi de la croissance de nos Etats. Elles constituent en effet plus de 98 % des entreprises et 2/3 des emplois dans les pays développés », a indiqué Felix A. Bikpo.
Pour lui, l’implication du secteur privé financier dans cette transition vers un monde sobre en carbone et résiliente face aux effets des changements climatiques parait inévitable. Parlant du Sénégal, il ajoute : « Notre objectif à l’horizon 2035 est de permettre au secteur financier privé de contribuer à la réduction d’au moins 1 % du gap de financement vert ».
Angèle Luh Chef du Bureau de l’ONU Environnement a elle précisé, qu’il s’agit de voir comment est-ce que de manière intégrée prendre en compte toutes les questions qui touchent à l’environnement, toutes les questions sociales et à l’environnement économique.
« Très souvent, les projets, ou les financements se sont faits sans forcément prendre en compte les aspects d’environnement et les aspects sociaux. Maintenant, il s’agit de prendre en compte la dimension et le risque environnemental et social, tout en prenant en compte les opportunités dans le domaine de l’économie circulaire du changement climatique de l’économie verte, et de l’économie bleu », a souligné Mme Angèle Luh.